Mercredi, si la nuit s’écroule dès 17 heures 30, la gare de l’Est fait signe à quelques pas comme s’il y avait du nouveau.
Cette pâle obscurité permet à Jean-Claude Decaux, le bienfaiteur, d’allumer alors ses fanaux sur les trottoirs du boulevard Magenta et nous évite de nous casser la figure dans le noir, en dérapant sur une feuille jaune à l’agonie par terre : on peut rêver alors de photo (margentique) ou de parfum – l’une peut sans doute accompagner l’autre.
Deux jours plus tard, Nelson Mandela reposerait enfin en paix et Christiane Taubira écrirait un très bel article, dans Le Huffington Post, sur la mort d’un juste.
(Photos : cliquer pour agrandir.)