« Je vois monter à l’horizon une race de philosophes nouveaux. Je me hasarderai à les baptiser d’un nom qui n’est pas sans danger. Autant que je les devine ou qu’ils se laissent deviner – car il est dans leur nature de vouloir demeurer sur quelques points des énigmes – ces philosophes de l’avenir pourraient à bon droit – et peut-être aussi à tort – être appelés des tentateurs. Le nom n’est lui-même qu’une tentative, ou, si l’on veut, une tentation. »
Nietzsche, Par-delà le bien et le mal (Aubier 1951, UGE 10 x 18, 1964, N° 46, page 67, § 42).
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(Gato Barbieri, Europa – d’après Santana – en hommage à Jean-Louis Foulquier)
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