Journée caniculaire, vendredi 18 juillet. Idéale pour trouver une salle de cinéma bien fraîche, car ça tape déjà dehors (30°).
Arrivé à la caisse du MK2 peu avant treize heures, le jeune couple qui me précède est averti que leur film est projeté dans une salle dont la climatisation est en panne mais qu’ils pourront être remboursés si, au bout de cinq minutes, ils ne supportent pas la chaleur et doivent quitter la séance.
Je glisse au caissier, mon tour venu, qu’il s’agit donc de choisir son film en fonction de la salle… Avec un certain à-propos, il me répond : « Absolument ! »
Tout le long de mon trajet à pied jusqu’au quai de Seine (19e), je me suis amusé à collecter quelques indices, plus ou moins pertinents, d’un Paris sans sas, comme s’ils m’annonçaient le chef-d’œuvre que j’allais revoir ensuite.
(Toutes ces photos peuvent passer en plan large.)
[ ☛ à suivre ]