et en écoutant Truffaz, en cliquant on le voit se dégager du bus
et je me demande si en tournant au coin de la taverne il y a toujours ce pâtissier avec comptoir sur la rue
non elle était sur mon chemin des retours du bureau à pied via 4 septembre et arts et métiers – sans importance au fond, juste le petit coup de fouet final
La grisaille et le froid étant de retour, on s’accroche très fort aux cadres solides de vos photos. En l’absence momentanée de soleil, toute tâche de jaune est la bienvenue. Mais le gris des jours est compensé par le noir des nuits magiques de la grande ville.
@ Godart : Oui, il faudrait trouver un système pour que les photos dégagent des degrés Celsius ou Fahrenheit à travers l’écran (mais nul doute que des recherches sont en cours !)…
@ DH : il me semble que c’est à Paris, que l’on a inventé de planter des arbres pour la première fois dans les rues, boulevard et avenues, au XIXeme siècle.
Époque où l’on voulait plaire au passant.
@ Alex : les arbres en ville lui apportent un peu de campagne (à la ville) et leur offrent (aux passants) un peu de ramages… D.H.
J’ai cru d’abord au jaune de la Poste, ces deux personnes, là, sans doute en train de s’écharper (non) des vélos, puis au loin allant vers la Nation je suppose, le camion est allemand (comme Radio Paris si je me souviens bien) je suis allé sur le site voir une ligne d’horizon façonnée de gratte-ciel, building, puis voyant la statue République pensé à l’autre face : un lion… (quelle trompette, ce Truffaz…!!)
Ces gigantesques camions doivent certainement se limiter aux grandes avenues.
On voit parfois d’habiles conducteurs de « gros culs » se livrer à plusieurs manoeuvres pour tourner d’une rue à l’autre en serrant les obstacles au centimètre près : chapeau !
Le truc c’est le quatrième côté du rectangle de la place de la République qu’on imaginait consacré aux piétons… tandis qu’au contraire, comme partout dans le monde, on trouve la façon de contourner les barrages invisibles (et les amendes) !
et en écoutant Truffaz, en cliquant on le voit se dégager du bus
et je me demande si en tournant au coin de la taverne il y a toujours ce pâtissier avec comptoir sur la rue
(@ brigetoun : la boulangerie sur la rue du faubourg du temple coin Yves Toudic existe toujours oui s’il s’agit de celle-là…)
@ PdB : dans ce cas-là, mais éloignée de la place de la République, il y bien celle qui se trouve rue Beaurepaire…
non elle était sur mon chemin des retours du bureau à pied via 4 septembre et arts et métiers – sans importance au fond, juste le petit coup de fouet final
@ brigetoun : je crains fort qu’elle ait disparu. Mais vous pouvez en trouver alentour : rue de Marseille, rue Bichat, rue des Vinaigriers…
Ah j’aime quand il y a de la musique.
Moi je suis catapultée dans un film noir et blanc, Jeanne Moreau arpente les trottoirs de Paris et Miles joue…
@ walachniewchicz : échafaudage !
La grisaille et le froid étant de retour, on s’accroche très fort aux cadres solides de vos photos. En l’absence momentanée de soleil, toute tâche de jaune est la bienvenue. Mais le gris des jours est compensé par le noir des nuits magiques de la grande ville.
@ Godart : Oui, il faudrait trouver un système pour que les photos dégagent des degrés Celsius ou Fahrenheit à travers l’écran (mais nul doute que des recherches sont en cours !)…
Oui, il y a bien un truck, les arbres ont encore leurs feuilles en décembre, place de la République !
@ Alex : dans la République, il y a toujours des récalcitrants…
@ DH : il me semble que c’est à Paris, que l’on a inventé de planter des arbres pour la première fois dans les rues, boulevard et avenues, au XIXeme siècle.
Époque où l’on voulait plaire au passant.
@ Alex : les arbres en ville lui apportent un peu de campagne (à la ville) et leur offrent (aux passants) un peu de ramages… D.H.
J’ai cru d’abord au jaune de la Poste, ces deux personnes, là, sans doute en train de s’écharper (non) des vélos, puis au loin allant vers la Nation je suppose, le camion est allemand (comme Radio Paris si je me souviens bien) je suis allé sur le site voir une ligne d’horizon façonnée de gratte-ciel, building, puis voyant la statue République pensé à l’autre face : un lion… (quelle trompette, ce Truffaz…!!)
@ PdB : la Poste n’a plus le monopole… (sauf pour les petites lettres) mais Truffaz n’est pas concurrencé !
Ces gigantesques camions doivent certainement se limiter aux grandes avenues.
On voit parfois d’habiles conducteurs de « gros culs » se livrer à plusieurs manoeuvres pour tourner d’une rue à l’autre en serrant les obstacles au centimètre près : chapeau !
@ Francesca : parfois, on se demande s’ils ne se sont pas égarés…
Le truc c’est le quatrième côté du rectangle de la place de la République qu’on imaginait consacré aux piétons… tandis qu’au contraire, comme partout dans le monde, on trouve la façon de contourner les barrages invisibles (et les amendes) !
@ biscarrosse : normal, chacun son truc ! 🙂
beau camion jaune, Dominique, mais perso je préfère le rouge. 🙂
@ Christine Simon : c’est son inscription qui m’avait intéressé…