Bêtise à front de taureau ou de dinosaure, tuez au nom d’Allah qui ne reconnaîtrait pas les siens, dans la nuit de la pensée idées de limaces, tirer et questionner après, la Kalachnikov remplit leur cerveau reptilien, rien ne peut être différent, ni dessins ni littérature, ni arts ni douceur, de ce qu’ils croient être la vérité, faiblesse insigne de leurs slogans, remonter dans la voiture en ramassant une basket après le massacre, leur embrigadement « intellectuel » ne tolère aucune déviance, faites couler le sang il se marie bien au noir, cachés derrière vos cagoules d’attentat comme des pleutres, des lâches, des assassins, des crétins décérébrés, avec le carnage comme titre de gloire, beau faire-part pour vos séides, l’enfer vous appartient, dérisoires propriétaires du néant.
(Paris, place de la République, photos prises hier vers 18:00. Cliquer pour agrandir.)