Demain, sur Métronomiques, une petite vidéo sur le « rassemblement », ou la manif, du 11 janvier 2015 à Paris, dont voici quelques premières fragmentations oculaires.
(Toutes ces photos peuvent être agrandies.)
(Charlie Parker, Ornithology)
[ ☛ à suivre ]
la République en feu sur la dernière ! superbe
attendrai donc demain
(ai pensé que j’aurais été au milieu des cortèges, il y a quelques années, entre Voltaire et Philippe Auguste)
@ brigetoun : Impossible d’aller jusqu’à Nation vu la marée humaine, on s’est alors transformés en derviches tourneurs 🙂
On n’a pas beaucoup marché, mais on a été quand même « debout » !
@ biscarrosse2012 : belle formule !
Oui, on a marché (jusqu’au père Lachaise)…. Et maintenant, tout reste à faire.
@ PdB : ne pas rester les bras croisés… et assis !
Cette fois, merci à l’esprit de contestation des Français : plus de 4 millions de personnes !
@ Alex : ou esprit de responsabilité comme si bel élan…
On pouvait craindre la récupération et pester contre ces drapeaux, ces Marseillaises, ces délégations officielles douteuses (Turquie, Russie…), mais on a tous oublié les réticences pour y aller -difficilement, quelle foule !- mais c’était beau, par exemple, que le président malien soit à côté de Hollande.
J’espère vivement qu’il s’en suivra du concret (éducation surtout) mais…à nous d’y veiller. Les gouvernants ne peuvent pas ignorer la force et l’ampleur de ces mouvements, partout, même dans de petites villes de province.
@ Francesca : et surtout ne pas se retrouver avec un « Patriot Act » importé vite fait !
Une belle occasion d’oublier clivages, idéologies, différences, particularités, couleurs, âges, positions sociales, croyances, pour ne se souvenir que de notre humanité commune et avancer ensemble portés par la force de chacun. Ce serait l’image idéale à retenir pour faire vivre et progresser ce pays…
@ mchristinegrimard : oui, presque trop beau pour être vrai…
vu d’où je suis, cela me donnait la sensation d’un peuple qui pouvait à nouveau exprimer le meilleur de lui-même, ce que le racisme ordinaire, la précarité , les corruptions ou faiblesses des dirigeants avaient étouffé de crasse et de lourdeur.
@ annaj : c’est une image à garder.