(cliquer sur l’image et le petit haut-parleur)
… et pas loin (pure imagination) des balles de Kalachnikov à Tunis, quelques heures après.
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… et pas loin (pure imagination) des balles de Kalachnikov à Tunis, quelques heures après.
pouviez être près en pensée
et peut être l’avion y allait il
@ brigetoun : je me suis posé la question quand j’ai appris l’info…
Chacun suivra son propre rêve, à pied , en voiture, ou en avion. L’important c’est le chemin plus que le but. On espère que le chemin soit beau, et évite les écueils de la barbarie.
@ mchristinegrimard : il faut aller de coquillages en coquilles Saint-Jacques…
« Santiago » (Saint-Jacques) a été un des symboles de la lutte contre l’islamisation de l’Europe au Moyen-Age.
Aujourd’hui, les Kalachnikov contre les œuvres d’art, avec quelques cadavres d’innocents en sus…
@ Alex : l’art peut être une arme pacifique, la culture est donc une ennemie pour les incultes du soi-disant « culte ».
@ Alex (de Compostelle) : après la destruction des statues (copies en plâtre, rappelons-le) de Mossoul et l’attaque du musée du Bardo à Tunis, la (très) charmante Fleur Pellerin ne devrait-elle pas craindre que des salafistes égyptiens ne viennent s’en prendre à la pyramide du Louvre ? On dit parfois du musée du Bardo qu’il est le « Louvre tunisien »…
@ Calypso : il faut peut-être se dépêcher de prendre des photos, et pas seulement au musée d’Orsay…
@ Calypso : il paraît que le musée du Louvre a déjà renforcé les équipes de sécurité.
à Tunis se tiendra quand même pourtant, la semaine qui vient, le Forum Social Mondial, et que la liberté et la culture tiennent bon…
@ PdB : si « l’Etat islamique » ne s’y invite pas !
Parfois, l’Histoire est une écliptique.
@ Dom A : il devient difficile de trouver les lunettes ad hoc.
@ Calypso : je préférais la place Napoléon avant que l’on y installe la pyramide et les (trop grands) bassins d’eau. C’était plus simple et plus chaleureux, l’on avait la sensation d’emboîter le pas des amoureux de l’art depuis des générations, de remonter le temps.
@ Alex : nos errances dans un Paris qui n’existe plus sont devenues archéologiques…