Au débotté, j’avais pris quelques photos, le dimanche 5 avril, en allant vers ce musée jamais encore visité à Paris.
On le découvrira donc – pour ceux ou celles qui ne le connaîtraient pas – un peu plus tard.
En attendant, soyons rassurés : les rédacteurs du Projet de loi sur le renseignement, qui devrait commencer à être débattu à l’Assemblée nationale le 13 avril, ont déjà établi leur quartier général, pas vraiment discret, rue Saint-Lazare (9e).
(on a toujours le droit d’agrandir les photos.)
(Charlie Parker, Bird Of Paradise)
me demande quel est le musée
me demandais si le local était sur la première photo (un rien perplexe) les ai toutes scrutées jusqu’à dire ah oui avec la dernière
@ brigetoun : il fallait bien un peu de suspense…
Même questionnement… puis ai pensé à votre art du contrepoint d’hier.
Ceci expliquant peut-être cela?
Merci de l’info, même si elle fait froid dans le dos.
@ pascale : le film « Hacker » de Michael Mann, vu hier, présente un aspect prémonitoire dans le domaine…
Joli manoir. Et cette sécurité nouvelle m’a fait sourire. Charlie Parker est bien agréable à écouter pour cette promenade dans une autre dimension…
@ gballand : le jazz permet (aussi) de s’évader !
C’est bien cet immeuble à la Grande Arche qui se trouve sur le trottoir droit de la rue de Paradis, avant d’arriver à la homonyme et glorieuse « cité » de nos IMPÔTS du Xe, n’est-ce pas ?
@ biscarrossse2012 : oui, sauf qu’il aurait fallu tourner avant à gauche dans la rue d’Hauteville pour tomber sur la bien-nommée – ce qui s’impose – « Cité Paradis » (fiscal)… 🙂
les nuages au ciel de l’autobus… (et merci pour parker…!!)
@ PdB : un salut à Giovanni Merloni… (et déjà Miles Davis…).
Paris est à lui seul un musée tout entier, dans ses moindres détails, une vie entière ne suffirait pas à le découvrir, mais nous avons un ami précieux, Dominique H, qui nous aide de par ses photos, d’une atmosphère très parisienne.
Dernière photo : profitons au maximum de notre liberté avant qu’elle ne nous soit retirée!
@ Alex : La vie est aussi (heureusement !) ailleurs que dans les musées et l’art peut se vivre ou se créer au quotidien – tant que cela sera « autorisé », évidemment !