La musique aussi a des yeux, une mémoire et une capacité tout à fait propre de s’étonner, de réagir en fusionnant avec le ciel bleu pour nous donner une petite joie qu’on peut savourer plusieurs fois !
@ Alex : Le Corbusier et Auguste Perret (Le Havre) étaient-ils des dictateurs ?
Je préfère leurs œuvres aux destructions des prosélytes de « l’Etat islamique » (sic) pour lesquels « Kalach’-moi la grappe » a remplacé « Laisse béton ! »
Le printemps tiré au cordeau du bitume et du béton sur fond odorant de pollution et de solitude des grandes banlieues de la capitale ?
Même au soleil c’est plutôt désespérant …
@ Francesca : oui, j’ai mangé aussi dehors, sur le balcon ! Beaucoup de monde sur le canal, surtout le soir : un immense pique-nique à ciel ouvert (c’est bien pour le commerce des bières).
rythme du titre, rythme des images, des oranges, des façades et de la musique
voilà un bon départ
Cette ville est supportable au soleil.
A nice walk with you and Brad 😉
@ gballand : là, il est reposant même s’il n’y a aucun oiseau noir à l’horizon…
Ces quelques fleurs (bienvenues !) ont l’air bien esseulées dans cette promenade géométrique !
@ mchristinegrimard : il y a quand même quelques arbres et l’éclosion (notamment des prunus un peu partout) est visible.
Mais cela apporte en effet de la vie – ou de la sensibilité – au milieu du béton (construction rapide d’un ensemble immobilier près de la fac).
La musique aussi a des yeux, une mémoire et une capacité tout à fait propre de s’étonner, de réagir en fusionnant avec le ciel bleu pour nous donner une petite joie qu’on peut savourer plusieurs fois !
@ biscarrosse2012 : Oui, mélangeons images, sons, écrits (là, je ne me suis pas foulé !), c’est le printemps !
Du moment que la musique et le soleil ont vocation à revenir au printemps … Merci à vous.
Les architectes grecs pensaient l’urbanisme d’une ville par rapport au nombre d’or…
La dictature du béton sur toute la planète, Evry, Dubaï, etc…
@ Alex : Le Corbusier et Auguste Perret (Le Havre) étaient-ils des dictateurs ?
Je préfère leurs œuvres aux destructions des prosélytes de « l’Etat islamique » (sic) pour lesquels « Kalach’-moi la grappe » a remplacé « Laisse béton ! »
Le printemps tiré au cordeau du bitume et du béton sur fond odorant de pollution et de solitude des grandes banlieues de la capitale ?
Même au soleil c’est plutôt désespérant …
@ Sorcirèe : il faut bien vivre quelque part, tout le monde ne peut enfourcher son balai vers des paradis océaniques..
Sourire Dominique ! ne t’énerve pas tu as failli m’appeler Circé ! 😉
@ Sorcière : m’énerver aurait été un peu cochon ! 🙂 D.H.
Tout est mieux au soleil. Déjeuner dehors avec des amis, c’était quasiment l’été, mais… le ciel se voile.
@ Francesca : oui, j’ai mangé aussi dehors, sur le balcon ! Beaucoup de monde sur le canal, surtout le soir : un immense pique-nique à ciel ouvert (c’est bien pour le commerce des bières).