Lundi, j’avais reçu une invitation, transmise si aimablement par un lecteur fidèle de ce blog, Calypso, pour l’ouverture de la nouvelle présentation des collections modernes (1905-1965) du Centre Pompidou, et dans laquelle une salle est désormais consacrée à André Breton.
Sur la piazza, j’ai reconnu avec plaisir Constance Krebs, grand(e) manitou du site-somme sur l’auteur de Nadja.
Nous sommes donc allés ensemble découvrir cet espace, dont une partie est séparée par une vitre pour préserver l’atelier et le bureau à rallonges d’André Breton (confiné auparavant dans la bibliothèque Jacques Doucet) avec ses objets, sculptures, tableaux qui tenteraient – à nouveau – sans doute plus d’un collectionneur s’ils étaient laissés à portée de main !
Aube Elléouët-Breton, qui s’est fortement impliquée dans l’existence du site de Constance Krebs et le « retour » enfin visible du bureau de son père, était présente, l’esprit et le regard toujours aussi vifs, mais n’a pas souhaité se laisser photographier : je lui ai dit que sa présence transparaissait de toute façon en ce lieu sans nécessiter une image.
En voici juste quelques-unes, fixées mardi soir (jour traditionnel de fermeture du Centre Pompidou à Paris).
(la photo ci-dessus en cache une autre.)