(Place de la République, 10e, 17 juillet.)
(Place de la République, 10e, 6 août.)
(Quai de Valmy, 10e, 10 août.)
(Rue de Turbigo, 10e, 10 août.)
(Avenue Richerand, 10e, 13 août.)
(Rue de la Verrerie, 4e, 13 août.)
(Rue Bichat, 10e, 13 août. Cliquer pour agrandir toutes les photos.)
(Clark Terry et l’orchestre de Quincy Jones, Moanin’, 1960.)
aime beaucoup le dernier (et souris, loin d’eux, aux vélos et leurs annexes en positions variables)
@ brigetoun : j’ai remis la photo « rue Beaubourg », disparue dans les flots de la circulation…
Ah, si tout le monde circulait à vélo, cela changerait l’aspect d’une ville. Bien trouvé ce « mur mur moi » !
@gballand : un mur qui transporte un message…
Vélos des villes, vélos des champs, cela donne un petit air de vacances à la capitale. Mais il faudrait un vélo à remonter le temps pour retrouver la trace d’un véritable marais…
@ mchristinegrimard : ou celui d’E.T… 🙂
Mais on peut retrouver ici et là, les origines d’un Marais (parisien)…
Joyeuse et insouciante légèreté de tracter ainsi sa progéniture en ville ….
Joyeux réveil en musique jusqu’à choisir… la Jaguar !! s’il vous plait
@ Arlette : un mélange « culturel », en quelque sorte !
Les vélos peuvent devenir très ingénieux…
@ Alex : D’autant qu’ils ont (presque) tous les droits maintenant 🙂
et pourquoi pas seulement à pied ou à cheval ?
@ jeandler : à pied, oui, cela existe encore, mais à cheval : c’est réservé à la Garde républicaine !
Le vélo à Paris, c’est téméraire ! Quant à l’affreux pousse-pousse, il rappelle sans doute de bons souvenirs esclavagistes aux touristes qui l’ont emprunté en Extrème-Orient…
Que ce mur mur est poétique et rafraîchissant !
@ Francesca : sincèrement, je plains ces esclaves !
Vu à la télé, en Asie le pousse-pousse est maintenant motorisé.
@ Alex : Je me rappelle d’un rickshaw loué à New Delhi, et du « ride » nocturne que je ne suis pas près d’oublier ! D.H.
Même plus une chaise à porteurs … pour notre époque néo – féodale ? Merci pour la musique
@ pascale : il faut aller chez Paumée pour en trouver encore… Les carrosses modernes ont des vitres fumées.
et quincy gémissant, à fond les pédales… bien trouvé, j’imagine fort bien l’effort cycliste.
@ annaj : les cuisses au travail sont des trombones à coulisse.
partie de cuivres en l’air
@ annaj : cycle de l’érotisme.
on reste dans les moyens de transport…;-))
@ annaj : ceux, amoureux, échappent aux contrôleurs…
chiche que vous trouviez une brouette (japonaise) à photographier… devoir d’été pour l’arpenteur.
@ annaj : il faudra que je me fasse enfermer un soir aux Tuileries, où certains jardiniers travaillent de nuit 🙂
ah! jardinier de nuit… quel beau métier!
@ annaj : les fleurs s’épanouissent, le jardinier ne nuit pas.