Saisir la fugacité de l’instant – comme l’entomologiste épingle des papillons – et ne pas y attacher plus d’importance que celle d’une seconde (ou un 100e) isolée dans la suite d’un jour, où le bleu se marie avec le vert et où un cadran solaire improvisé par une main anonyme a réussi, hier matin, à indiquer presque par provocation qu’il n’y aurait aucun orage l’après-midi sur Paris ni sur les courts de Roland-Garros ou dans le parc Monceau soumis aux « éléments naturels ».
(les photos, prises les 27 et 28 mai à Paris, sont agrandissables.)