Un reflet en revenant de Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Bd de la Chapelle, 10:09.
Un modèle de « Charleston » dont je fus propriétaire pendant un an à Paris, j’aimais ses phares et rétros chromés, décapotable abordable et adorable. Rue Bichat, 10:49.
Une #NuitDebout toujours présente ici ou là. Rue Bichat, 10:54.
Une inondation. Rue du Faubourg-du-Temple, 11:29.
(Toutes les photos, prises hier à Paris, sont agrandissables.)
(Laurie Anderson, Someone Else’s Dream)
et chaque souvenir a son charme ou son importance
(oui elle est adorable la voiture)
@ brigetoun : souvenirs fugaces…
Le jeu, lors de nos quinze ans, c’était de se pincer chaque fois qu’on voyait une 2cv verte. J’ai eu le béguin pour un qui avait une Charleston.
@ colorsandpastels : on peut visiter Paris en 2 cv (mais est-ce pareil que dans sa propre voiture) ?
j’ai toujours visité votre ville à pieds/métro/bus, pas encore essayé à vélo
@ colorsandpastels : les Vélib’ vous attendent (quoiqu’un peu lourds à mon goût)… D.H.
Idem, c’est drôle ! Les 2CV croisées dans la journée portaient bonheur….
@ hélène : c’est sans doute pour cela que je n’ai jamais eu de « tôle froissée » !
Belle voix pour accompagner ces souvenirs… (pourquoi décalés ?).
@ les ateliers du déluge : décalage temporel, grand ou petit !
Le décalage est une porte qui donne accès à un monde caché…
@ gballand : le décalage peut être parfois un décollage ! 🙂
oh j’ai eu une Charleston un temps…
décrue à Paris ?
@ lanlanhue : j’ai dû vous croiser un jour !
Oui, le niveau baisse…
« Ah! Titine… »
Surnommée Titine, ou aussi la voiture des bonnes sœurs, elle n’allait pas bien vite, mais elle avait de la gueule et une excellente suspension…elle pouvait même rouler dans les champs…le seul point noir, sa carrosserie, mince comme une feuille de papier à cigarette, et en cas de collision, c’était un aller direct au Paradis.
@ Alex : j’ai eu plusieurs 2 cv et jamais un accident avec l’une d’elles. Mais le plaisir de rouler – en Corse, par exemple – « décapoté » l’emportait sur celui de la vitesse limitée (actuellement, 70 km/h sur certaines routes, ou 30 km/h en ville… alors…) et de la minceur de la carrosserie.
Mais je n’ai jamais porté la cornette comme dans un certain film avec Louis de Funès ! 🙂
J’ai toujours aimé vos photos de flânerie dans Paris.
@ Désomière : merci, c’est très gentil.
(mais relancez un peu votre blog !)
Les reflets dans l’alu donnent belle allure.
@ Godard : un camion sur ma gauche, juste quand je voulais faire une autre photo…
Ah, la Dodoche ! J’en ai eu deux gris-bleu qui ont roulé leurs bosses partout y compris sur des terrains impraticables avec d’autres voitures. On retirait les sièges qu’on installait dans l’herbe pour un pique-nique. On y roulait très vite en descente pour pouvoir aborder une grimpette qu’on terminait en seconde, voire en première. Elle n’avait jamais de panne, ne chauffait pas puisqu’elle refroidissait par air, prenait les tournants pied au plancher sans flancher… Un bonheur de voiture décapotable !
@ Francesca : ou « la Deuche »… Oui, increvable et les sièges amovibles, si légers, et la consommation réduite…
On se demande bien pourquoi nos as du marketing – à par la Charleston qui n’aura duré qu’un temps – n’ont toujours pas lancé une voiture équivalente, même électrique, si plaisante, économique et avec autant d’atouts !
Mais sans doute pas assez « rentable » pour les PDG du type Tavares ou Ghosn (les deux Carlos de PSA et Renault), leurs vide-poches personnels étant plutôt bien remplis… 🙂
Hé oui, la raison c’est la folie… de rentabilité ! D’autant que la 2cv faisait deux tours de compteur et se passait à la génération suivante, contrairement aux « produits » actuels qui doivent périr en 5 ou 6 ans pour être remplacés par d’autres au prix fort…
Mais on « vous parle d’un temps que les moins de vingt ans… »
Quand même un petit défaut : le volet inférieur de la vitre avant qui te tombait brutalement sur le coude au moindre nid de poule 🙂
@ Francesca : non, c’était une sorte de simple rappel pédagogique de l’époque de la guillotine !!!
🙂
… le beau reflet par temps de flots.
@ Gilbert Pinna : flot intermittent comme nos petits saluts ! 🙂
😉