Dans le vent de la Vendée, quatrième jour déjà, et les intermittences du ciel se poursuivent, le soleil joue avec la pluie mais les mouettes s’en moquent, elle rient même de se voir si belles en ce beau soir.
Les Sables d’Olonne : son port, sa plage immense et fréquentée prématurément avant les vacances officielles, on voit pas mal d’Anglais, en short ou en vélo, le front de mer est étendu, les nuages en forment une barrière mobile blanche ou grise.
Au volant, je remarque le nombre impressionnant de ronds-points, chers à François Bon, purs ralentisseurs et non constructions à prétention d’« œuvres d’art » comme on peut en rencontrer du côté de Tours ou ailleurs.
Météo : 31°, chaleur assez lourde dans l’après-midi, rayons suffisants pour bronzer, mais dix degrés de moins en rentrant hier vers 18 heures à Saint-Gilles-Croix-de-Vie.
Les seaux d’eau déversés en notre absence par la main invisible du grand ordonnateur des pompes célèbres avaient, semble-t-il, quelque peu rafraîchi l’atmosphère.
(Cliquez sur les photos pour les agrandir, si cela vous dit.)
[ ☛ à suivre ]