Et il a bien fallu reprendre le bateau de l’île d’Yeu, jeudi 24 juin, à 17 heures. La météo souriante était toujours au rendez-vous, la traversée dans l’autre sens serait calme : certains rapportaient sur eux quelques coups de soleil à rendre jaloux des homards.
À Port-Joinville, je repensais à l’un de ces Chroniqueurs du Moyen-Âge, traduit de l’ancien français, commenté et annoté par mon père (éditions Fernand Lanore, 1957).
Mais ce n’était pas l’historien de La Vie de Saint-Louis qui avait donné son nom au port d’entrée de l’île d’Yeu.
Les embruns agitent aussi parfois la mémoire.
(cette photo cache une autre figure historique.)
(toutes les photos, sauf une, peuvent être agrandies.)
[ ☛ à suivre ]