ai pu enfin m’ébattre avec eux (avais repéré la vidéo et attendais sagement…) et c’est délicieux.. d’autant que serais bien incapable d’en faire autant
@ brigeotun : merci pour votre discrétion 🙂
C’est juste un plan-séquence durant lequel j’attendais de voir un surfeur debout : cela aurait pu durer un quart d’heure ou plus !
@ mchristinegrimard : ce n’est peut-être pas Biarritz… mais j’ai admiré ces types et leur volonté.
L’océan nous lave des miasmes et du sang qui gicle ailleurs… Cela relativise bien des choses !
Les passionnés de la planche – où l’on voit que la ténacité et le courage existent encore dans la jeunesse – apprivoiser l’océan, encore une ambition humaine –
Les vagues successives lavent l’esprit et le cœur mais alors, quelle ténacité il faut ! Et des biceps en béton.
Le bateau, je connais mais pas la planche que je ne connaîtrai qu’en toute fin… 🙂
ai pu enfin m’ébattre avec eux (avais repéré la vidéo et attendais sagement…) et c’est délicieux.. d’autant que serais bien incapable d’en faire autant
@ brigeotun : merci pour votre discrétion 🙂
C’est juste un plan-séquence durant lequel j’attendais de voir un surfeur debout : cela aurait pu durer un quart d’heure ou plus !
L’opiniâtreté finit par payer !
Les forçats de la vague remettent cent fois leur Cœur à l’ouvrage…
Merci aussi pour le chant des vagues 🙂
@ mchristinegrimard : ce n’est peut-être pas Biarritz… mais j’ai admiré ces types et leur volonté.
L’océan nous lave des miasmes et du sang qui gicle ailleurs… Cela relativise bien des choses !
oh rien que le bruit de l’océan… cela me douche ! 😉
@ lanlanhue : c’est pourquoi ce « post » est diffusé tôt le matin ! 🙂
Les passionnés de la planche – où l’on voit que la ténacité et le courage existent encore dans la jeunesse – apprivoiser l’océan, encore une ambition humaine –
@ Alex : la planche n’est plus réservée aux fakirs…
Sens inverse des migrants, quand le ludique remplace le tragique.
@ Godard : des embarcations qui ne sont pas occupées par des centaines de personnes en détresse.. oui, les immigrés ont du mal à surfer sur les flots.
Les vagues successives lavent l’esprit et le cœur mais alors, quelle ténacité il faut ! Et des biceps en béton.
Le bateau, je connais mais pas la planche que je ne connaîtrai qu’en toute fin… 🙂
@ Francesca : : : : tu en économiseras – mais dans si longtemps – donc trois ! 😉