(cliquer sur l’image et le petit haut-parleur.)
Le port de Palavas-les-Flots, à un tout petit peu plus d’une dizaine de km de Montpellier, s’étend comme un havre de paix le dimanche matin. On peut se balader sur la plage sans risquer de buter contre une femme allongée sur une serviette de bain ou un type se faisant bronzer en lisant le dernier prix Goncourt : il est vrai qu’en novembre ce n’est plus trop la saison (sauf celle des prix littéraires).
Les restaurants donnent sur le port et les serveurs sont agréables, la nourriture « de la mer » y est abondante et fraîche. De quoi se caler avant de reprendre notre promenade cette fois-ci vers un autre lieu plus religieux – même si la vue du flux marin peut toujours déclencher une réflexion métaphysique.
(photos prises le 13 novembre. Cliquer pour agrandir.)
(Art Farmer, Alfie)
[ ☛ à suivre ]
Métronomiques 
les bateaux comme sardines en caque… mais si belles photos – et oui « la vue du flux marin peut toujours déclencher une réflexion métaphysique. »
@ brigetoun : et le flux politique une réflexion désabusée…
Le programme Fillon fait froid dans le dos. Contempler le ciel bleu est un bon antidote, merci !
@ Francesca : Au moins, on sait à quoi s’attendre (il ne nous trumpe pas sur la marchandise)…
les mâts sur ciels ouatés et les palmiers j’aime
il n’est pas bon le dernier Goncourt?
@ colorsandpastels : pas lu…
Palavas aux jours de pluie reste romantique faut juste pas traîner dans les bistrots et le Casino. La flore qui pousse sur les sables reste un excellent souvenir. C’est un vrai chemin de pèlerin. Bonne visite au milieu des tentations de la mer.
@ Aurélie : Je n’ai pas eu le temps d’entrer dans le Casino mais j’aurais aimé repartir en moto !
Yes !!
Yes !!
@ Aurélie : kick time ! 🙂
À Palavas les Flots aussi, les bateaux de plaisance ont remplacé les bateaux de pêche…depuis 1936, l’industrie des vacances prospère, et comme une pieuvre, étend ses tentacules sur toute la planète…
@ Alex : vous n’aimez pas les poissons carrés de chez Findus ?
Sans oublier les Folies montpelliéraines… des temps anciens.
@ jeandler : Fillon pourrait profiter de la future occasion pour renouveler son patrimoine… 🙂
« Faut rigoler, faut rigoler
Avant qu’le ciel nous tomb’ sur la tête,
Faut rigoler, faut rigoler
Pour empêcher le ciel de tomber. »
Paroles de Boris Vian, composition de Henri Salvador.
@ Alex : no pb, on va se fendre la gueule, même sans recourir aux classiques du genre !
Le ciel, la mer, les bateaux mais pas âme qui vive…Brrr… Oui, il y a comme un froid. En attendant, certes, il vaut mieux en rire comme on riait en 2008 quand les premières approches ne laissaient pas deviner une amitié naissante.
@ Désormière : l’Histoire était (fort bien) montée et imaginée dès cette époque ! 😳
J’aime beaucoup Palavas. J’y ai de très beaux souvenirs (rencontre avec mon compagnon) 🙂
@ Zoë Lucider : C’est bien, ça a dû faire des vagues ! 🙂
Toujours ces photos sublimes, Dominique.
@ Moons : Merci, mais trop aimable (restons sur terre…) !