Passant à nouveau par Chérence (Val-d’Oise) le 2 juin dans la matinée, il fallait revoir ce « planétarium » naturel où vécut un temps Nathalie Sarraute.
On ne pouvait faire œuvre ici que de certains « tropismes » – impossible de voir de l’autre côté des murs – et de tours d’imagination, et déplorer aussi la construction d’un immense bâtiment (futur hôtel ou maison de retraite ?), presque contigu à l’habitation de l’écrivain, isolée au début ou à la fin du village.
Un peu plus loin, des animaux paissent tranquillement sous le ciel un peu agité.
Oui, un « planétarium », avec son mystère littéraire, et pas « une planète B ».
Hélas, hier soir à Londres, une fois encore, le rouge remplaçait le vert.