Oh Yes ! Comme dirait superbement Freddie Hubbard !
La panique de l’enfant devant le phénomène de la disparition des personnes dans l’opacité blanchâtre du brumisateur, nous rappelle nos peurs enfantines.
Pour comprendre, il lui faudra attendre d’accéder à la classe de philosophie, au cours de phénoménologie.
Le brumisateur convient mieux aux enfants qu’aux hommes en costume 😉 Cette « First light » donne de l’entrain pour vivre, alors que la « République » sous laquelle nous vivons ne nous en offre certes pas !
Heureusement,la brume n’est pas électrique comme dans le film de Bertrand Tavernier. Eau et électricité ne faisant pas bon ménage, mais l’eau et le gaz, c’est guère mieux.
cette façon de se croire seul au monde quand on photographie m’a toujours ébloui… (j’aime bien la façon de cette dame de poser le bambin et de se tirer son forfait commis) (l’autre au costard – qu’on voyait hier aussi, tout autant encostardé – va pouvoir aller travailler ensuite, hein)
Ah oui ! L’enfant s’énerve parce qu’il est photographié ou filmé par le personnage en costume, qui lui demande d’entrer dans la brume vaporisée pour continuer sans doute le film, mais l’enfanr a peur de cette brume et d’autre part se refuse à jouer un rôle d’acteur.
quelle superbe idée (ce que pense la petite fille 🙂
et quelle réussite du photographe
@ brigetoun : le soleil faisait partie du jeu… 🙂
Quai des Brumes version été ?
🙂
@ carnetsparesseux : en quelque sorte (avec Michèle Morning)… 🙂
Oh Yes ! Comme dirait superbement Freddie Hubbard !
La panique de l’enfant devant le phénomène de la disparition des personnes dans l’opacité blanchâtre du brumisateur, nous rappelle nos peurs enfantines.
Pour comprendre, il lui faudra attendre d’accéder à la classe de philosophie, au cours de phénoménologie.
@ Alex : Husserl, ou l’arroseur arrosé… 🙂
Le brumisateur convient mieux aux enfants qu’aux hommes en costume 😉 Cette « First light » donne de l’entrain pour vivre, alors que la « République » sous laquelle nous vivons ne nous en offre certes pas !
@ gballand : la Répubique actuelle préfère se prétendre « en marche » plutôt… qu’en train ! 🙂
L’enfant, casqué, sur des patins, voulait échapper au brouillard. Le plaisir de la fraîcheur viendra ensuite.
@ Francesca : le casque, parapluie porté sans la main… 🙂
Heureusement,la brume n’est pas électrique comme dans le film de Bertrand Tavernier. Eau et électricité ne faisant pas bon ménage, mais l’eau et le gaz, c’est guère mieux.
@ Godart : Très beau polar… mais ce n’est pas tout à fait le bayou (même si ça me rappelle un écolo très sympa)… 🙂
cette façon de se croire seul au monde quand on photographie m’a toujours ébloui… (j’aime bien la façon de cette dame de poser le bambin et de se tirer son forfait commis) (l’autre au costard – qu’on voyait hier aussi, tout autant encostardé – va pouvoir aller travailler ensuite, hein)
@ PdB : Il aurait fallu qu’il prévoie un imperméable ! 🙂
Etrange ballet, comme les films des Frères Lumière
@ colorsandpastels : il y a en effet un peu de lumière et de couleurs… 🙂
Ah oui ! L’enfant s’énerve parce qu’il est photographié ou filmé par le personnage en costume, qui lui demande d’entrer dans la brume vaporisée pour continuer sans doute le film, mais l’enfanr a peur de cette brume et d’autre part se refuse à jouer un rôle d’acteur.
Être ou ne pas être…
@ Alex : les acteurs en herbe auraient créé un syndicat pour défendre leurs droits… 🙂
La morale de l’histoire, c’est le café qui l’inscrit et nous la donne : fluctuat nec mergitur…
@ Désormière : tant qu’il y aura de l’eau, pas de raison d’en faire toute une histoire… 🙂