Le frugalisme, nouveau mouvement et philosophie, retraite à 40 ans, travailler moins pour gagner moins, mais prendre le temps de vivre à son rythme et à celui de la nature.
@ Alex : c’est du Paul Lafargue (gendre de Marx, voir son beau profil) revisité !
Hélas, « le droit à la paresse » semble bien éloigné des préoccupations de la Macronie… 🙂
Simplicité volontaire, style Gandhi, végétarisme à l’indienne, moines zen…maintenant le frugalisme, moins contraignant…et un nouveau casse-tête pour les macroniens.
Paul Lafargue rejoint Aristote, sans le savoir, mais les philosophes se rejoignent un jour, qui recommande de ne pas trop travailler, et de garder des espaces de temps libre, le farniente, indispensables pour se ressourcer et retrouver sa propre pensée. («Politiques »)
@ Alex : la lecture d’Aristote, entre autres, devrait être rendue obligatoire dès l’école primaire, au même titre que le chant choral imposé par le ministre « premier de la classe ». 🙂
On a grand besoin de lenteur mais pour certains cela semble le comble de la ringardise, surtout au cinéma où le moindre soupir les exaspère jusqu’à ce qu’ils sautent de leur siège au premier mot du générique de fin…
@ Francesca : Le film turc « Le Poirier sauvage » (vu hier soir) peut entrer avec beauté dans cette catégorie-là…
Les gens qui se lèvent avant la fin du générique ne sont pas des cinéphiles mais des sans-gêne et des imbéciles. 🙂
J’avais vu une pièce de théâtre adaptée d’un livre de Dostoïevski, au théâtre de la Huchette. L’homme du sous-sol. Monologue d’un homme qui a choisi d’acheter une petite chambre dans un sous-sol, d’y vivre chichement, de ne plus rien faire et de rester couché.
Il philosophe sur la société.
suis je tout prête à succomber au plaisir de cette lenteur
@ brigetoun : le sur-place repose ! :)-)
Je me souviens du canal Saint Martin et je rêve… Joli, ce Remember !
@ gballand : à relire : « L’eau et les rêves » de Gaston Bachelard… 🙂
Le bateau a bougé, il a perdu !
@ colorsandpastels : vous l’avez sanctionné illico ! 🙂
un deux trois, soleil !
@ colorsandpastels : 🌕🌖🌗
très beau
L’élégance de la lenteur consiste autant à ne pas offusquer la vitesse qu’à ne pas froisser l’immobilité
@ tartaglia : joliment dit ! 🙂
Le frugalisme, nouveau mouvement et philosophie, retraite à 40 ans, travailler moins pour gagner moins, mais prendre le temps de vivre à son rythme et à celui de la nature.
@ Alex : c’est du Paul Lafargue (gendre de Marx, voir son beau profil) revisité !
Hélas, « le droit à la paresse » semble bien éloigné des préoccupations de la Macronie… 🙂
Simplicité volontaire, style Gandhi, végétarisme à l’indienne, moines zen…maintenant le frugalisme, moins contraignant…et un nouveau casse-tête pour les macroniens.
Paul Lafargue rejoint Aristote, sans le savoir, mais les philosophes se rejoignent un jour, qui recommande de ne pas trop travailler, et de garder des espaces de temps libre, le farniente, indispensables pour se ressourcer et retrouver sa propre pensée. («Politiques »)
@ Alex : la lecture d’Aristote, entre autres, devrait être rendue obligatoire dès l’école primaire, au même titre que le chant choral imposé par le ministre « premier de la classe ». 🙂
Également le point de vue de Montaigne et des humanistes de la Renaissance.
@ Alex : heureusement, les enfants philosophent sans maître… 🙂
On a grand besoin de lenteur mais pour certains cela semble le comble de la ringardise, surtout au cinéma où le moindre soupir les exaspère jusqu’à ce qu’ils sautent de leur siège au premier mot du générique de fin…
@ Francesca : Le film turc « Le Poirier sauvage » (vu hier soir) peut entrer avec beauté dans cette catégorie-là…
Les gens qui se lèvent avant la fin du générique ne sont pas des cinéphiles mais des sans-gêne et des imbéciles. 🙂
On ne pense pas assez à Hank Mobley
@ Christine Simon : c’est vrai. 🙂
(finalement, il n’est pas si long, hein…) (vraiment bien) (beaucoup apprécié le titre aussi) (et la neige sur l’Anatolie) bon week-end alors…
@ PdB : Très belles images (la séquence avec les imams un peu longuette quand même !), musique et réflexion sur la condition… humaine. 🙂
J’avais vu une pièce de théâtre adaptée d’un livre de Dostoïevski, au théâtre de la Huchette. L’homme du sous-sol. Monologue d’un homme qui a choisi d’acheter une petite chambre dans un sous-sol, d’y vivre chichement, de ne plus rien faire et de rester couché.
Il philosophe sur la société.
@ Alex : c’est le cas du fils et du père dans « Le Poirier sauvage » (vers la fin)… 🙂
« Les petits bateaux ont-ils des jambes ? »
Et même s’ils en avaient rejoindraient-ils les marcheurs ?
@ carnetsparesseux : ces derniers essaient pourtant de nous mener en bateau ! 🙂
On a parfois même envie de leur chanter, avec Mistinguett, « Moi, j’en amarre »
@ carnetsparesseux : à l’assaut du bastingage ! 🙂
Les mouches devraient (de temps à autre) prendre exemple sur les bateaux-mouches.
@ Aunryz : les touristes gobent ce qui passe… 🙂