(André Breton, Ode à Charles Fourier, 1947, Poésie/Gallimard, 1968.)
(photos : cliquer pour agrandir.)
(lecture, le 15 mars, par D.H.)
(André Breton, Ode à Charles Fourier, 1947, Poésie/Gallimard, 1968.)
(photos : cliquer pour agrandir.)
(lecture, le 15 mars, par D.H.)
Merci de cette lecture ! Il faudrait que je me replonge dans Fourier, bien oublié…
@ Francesca : l’imagination illimitée… 🙂
« Je vous salue, ô gilets jaunes…» (L’Epopée du Manifestant en Pays Démocratique) par Lambda, citoyen ci-devant.
@ Alex : ci-devant LBD-40… °)
L’oeuvre littéraire et autre de Fourier est extraordinaire.
L’évocation de l’homme par Breton est puissante.
Mais ici le JE est, comme souvent chez B. trop présent.
Breton étant alors revenu en France explique : » Comme je persiste à croire que le poème est appelé à un grand retentissement et sur la présentation que vous en avez assuré en fera en outre une grande curiosité bibliographique, je souhaite à chacun de ces exemplaires sur Hollande, au nombre de 25, un document hors-texte qui les fasse passionnément rechercher »
(J’ai omis de remercier pour cette lecture où la voix atténue ce que j’évoque en conservant la puissance de l’hommage )
@ Aunryz : Chez André Breton, le « Je » ne pouvait être « un autre »…
Normal aussi qu’il se soit préoccupé d’illustration pour son poème (comme « Nadja » fut accompagné de photos de J.-M. Boiffard).
Si Breton n’avait pas dit « Je », serait-il encore Breton ? 🙂
(merci d’avoir écouté ce petit exercice : il est vrai que lue dans son intégralité par Breton lui-même, l’œuvre permet d’entendre et apprécier sa voix de stentor…)
Belle lecture, je ne connais ni l’un ni l’autre
@ colorsandpastels : alors, tant mieux : découverte ! 🙂
MERCI Dominique de combler une fois encore de si ferme voix et avec tel texte un des inombrables trous de ma cuilture
@ brigetoun : il me semble que j’avais déjà enregistré un extrait de ce poème il y a des mois ou des années… donc vous l’avez sans doute déjà lu ou écouté ! 🙂
oui, mais n’avais pas enregistré le besoin de le lire
@ brigetoun : 🙂
Je crois que je ne comprends rien à la poésie.
@ Nicolas Bleusher : cette dénégation est amusante de ta part. 🙂