La nuit, Delft dort des deux yeux. Pas un chat dans les rues, juste une sorte de Magritte enfenestré et un vélo qui se tient droit sur sa béquille.
Le 6 mai, on quitte l’hôtel, on reprend le périple, puis ce sera le périph’ (pas encore limité à 50 km/h), direction Paris.
On empruntera juste avant un petit ferry pour traverser la barrière liquide (Meuse, Rhin, Rotte ?) entre Maasluis et Rozenbourg : le « ferrytage » pour les voitures (cousin du « ferroutage » réservé aux camions) devrait être développé – si on veut être vraiment écolos – à plus grande échelle de coupée.
Mais on verra bien sur la Seine, le soir, si des convois de voitures (électriques, forcément) naviguent déjà tranquillement dans le flux apollinairien.
(photos : cliquer pour agrandir.)
[ ☛ à suivre ]