(Paris, 20 mai, quai des Célestins, 4e. Cliquer sur le couvercle pour une autre photo.)
(photos et gifs : cliquer pour agrandir.)
(Terry Riley, A Rainbow in Curved Air)
[ ☛ FIN ]
(Paris, 20 mai, quai des Célestins, 4e. Cliquer sur le couvercle pour une autre photo.)
(photos et gifs : cliquer pour agrandir.)
(Terry Riley, A Rainbow in Curved Air)
[ ☛ FIN ]
Joie de certains
et
tristesse des boites à bouquins
au vert.
@ Aunryz : dialectique de l’époque épique… 🙂
>
oh merci – plaisir des boites fermées au lieu de s’ouvrir surtout sur des brimborions pour touristes (et la navrance de n’y trouver que très occasionnellement des livres sauf chez deux ou trois mais qui sont plus libraires d’ancien que bouquinistes), plaisir du charme encore doucement mélancolique en souvenir de l’hiver et puis le surgissement de ce JOIE
@ brigetoun : Oui, mais feuilleter… à tout hasard, quand reviendra donc ce plaisir discret ? 🙂
A lire cela
je me dis que je n’ai rien perdu à ne plus chercher le livre rare dans ces boites
depuis que la table d’émeraude (Rue de la Huchette) n’existe plus.
Mes amis bouquinistes ont depuis longtemps abandonné leur librairie en ville
et travaillent maintenant à la campagne avec les moyens incontournablement moderne.
Pecato !
@ Aunryz : on peut encore y trouver des perles (rares et donc chères)… 🙂
Hâte de voir réouvertes les boîtes des vrais bouquinistes chez qui on trouve encore de la littérature…
@ Francesca : sous leur papier cristal, quelques merveilles déconfites attendent… 🙂
L’endroit sensible attend son monde !
@ Dominique AUTROU : la Normandie se vide… 🙂
Peut-on raisonnablement débaptiser une rue de l’Ave Maria ?
@ Godart : Non, qui aurait cette idée saugrenue ? Il faut conserver les traces historiques de la foi (peut-on se débarrasser de Notre-Dame de Paris ?)… 😉
Rire grâce au clic sur la poubelle
L’onde est élégante
@ colorsandpastels : Il s’agit des « boîtes » dans lesquelles les bouquinistes parisiens sur les quais enferment leurs livres, qui n’ont pas encore revu la lumière du jour depuis le 17 mars dernier.
Si on écoute bien, des cris s’élèvent même de ces lieux.. 🙂
(c’est vrai je me souviens, il n’avait pas été question d’une crue centennale ?) (qui nous protégera jamais de ces avatars, les assureurs ?) (bad spirit hein) mais enfin, la mobylette nous inspire un jazz guitare violon de meilleur augure
@ PdB : Concernant une éventuelle prochaine crue (on n’est plus à une catastrophe près), nul doute que la ministre « en responsabilité » de la « transition écologique et solidaire », Madame Borne, saura l’arrêter. 🙂
Avec le déconfinement les Parisiens-es courent ou pédalent… « Sous les pavés », la « plage dynamique »… Avec tous ces sportifs, les propriétaires des boîtes vertes auraient pu se convertir en distributeurs de boissons fraîches, eaux Vichy-Célestin, rosés d’Anjou, etc.
@ Robert Spire : Bonne idée mais leurs « baux » ne leur permettaient sans doute pas de vendre autre chose que ces marchandises « non essentielles » interdites jusqu’à ces jours-ci.
Maintenant, quand ces « boîtes » (de jour) seront enfin réouvertes, chacun sera tenu de venir s’acheter voire se racheter – avec, à la main, une bouteille tout simplement « alcoolique » – un volume d’Apollinaire ou cinq volumes de Malcom Lowry… 🙂