(L’image ci-dessus en cache une autre : cliquer.)
(Bourges, cathédrale Saint-Étienne, 10 octobre. Agrandir les photos.)
Hier en fin d’après-midi, un terroriste, au nom d’une religion dévoyée – « l’islamo-fascisme », comme l’a qualifié Patrick Pelloux sur France Info – a décapité un professeur d’histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
Emmanuel Macron, président de la République, arrivé le soir sur les lieux de l’attentat, a parlé tout en exprimant l’essentiel.
Les virus sont de toutes sortes : protégeons-nous !
D.H.
(J.-S. Bach, Toccata « Dorica » BWB 538, par Luciano Zecca)
[ ☛ à suivre ]
quelle splendeur ! et Bach va très bien à ces voûtes
@ brigetoun : l’erreur dans la programmation vous a permis de commenter avant que je ne rajoute quelques mots sur l’attentat d’hier… ;-(
beate lei
C’est ici que j’apprends ce nouvel assassinat islamique… Se protéger, oui, mais sans une seconde renoncer à notre liberté d’expression ! Pensées émues pour les proches de ce professeur.
@ Francesca : la démocratie n’a pas de prix. 😉
Bach n’est jamais autant sublime qu’au coeur d’une cathédrale joué sur un orgue. D’emblée, la méditation est là, l’émotion et quelques fois les larmes devant cet homme supplicié qui en rappelle tant d’autres. Décidément, de traumatismes en traumatisme, ce dernier, cet enseignant décapité, n’est pas des moindres! Quelle lumière pourra nous sortir de ces marasmes ? Pour moi, dans cette méditation accompagnée de ces notes magnifiques ! Bon courage à tous !
vos mots sont justes et bons
@ colorsandpastels : une réaction comme des millions d’autres… /_°
@ Matatoune : Bach insurpassable mais, hélas, il ne saurait recoudre les misères du monde… 😉
C’est leste
ces mouvements de la pierre vers le ciel
et comme on se sent petit
et comme celui qui tient l’objet à capturer les lumières réfléchies est habile (sourire)
notamment la première vue, où le pavé regarde ses grandes soeurs qui, en intelligence collective,fusionnent pour donner ce chez d’oeuvre d’élégance aristocratique qui pointe vers le ciel comme un astronef à sa conquête.
On en oublierait (quoique) vers quoi la religion mal digérée conduit au contraire du religere.
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En somme
une page qui fait faire du chemin
à ce que chacun a construit ou pas
d’âme.