Feuilles d’eau et tracés volatils

(Paris 10e, 12 novembre. Click & Enlarge.)

(The Dave Brubeck Quartet, Far More Blue)

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19 réflexions sur “Feuilles d’eau et tracés volatils

  1. Très beaux reflets !

  2. Francesca dit :

    Les jonchées de feuilles mortes empêchent ici ou là l’eau de miroiter ; dommage.

  3. lyssamara dit :

    Pourquoi la silhouette en noir boîte-t-elle ? Elle semble pourtant bien accompagnée.
    À moins que cela ne soit le reflet de ces vies qui balbutie et me joue un tour…
    Sinon votre iris à l’affût des couleurs automnales a réussi sa chasse douce.

  4. Matatoune dit :

    Dave Brubeck, ce dimanche va être magnifiquement nostalgique. Je crois que j’ai encore un de leurs disques, ou deux peut être ! Mais aucune tristesse à l’écoute de leurs talents . Merci bcp

  5. @ Matatoune : Un Quartet qui passe si allègrement et avec légèreté au-dessus des jours et des ans… 🙂

  6. Robert Spire dit :

    « Je me sens monotone
    Quand l’eau tonne
    Mais je prends
    Mon temps »
    (« L’eau tonne », chanson du groupe rock québéquois: Morse Code, 1977)

  7. DH, les oiseaux et le miroir d’Arvo Pärt (Spiegel im Spiegel) consolent de ces longs moments d’enfermement

  8. Tu réussis mieux que moi à photographier les oiseaux ! Pourtant ce n’est pas faute de passer la journée dehors, je constate aussi que les feuilles jaunes flottent mieux que les feuilles vertes
    (mais il y a certainement un vice de forme dans mon analyse au pied levé !)
    Bon dimanche !

  9. le ciel, est, par dessous le quai, si bleu, si calme
    la mouette, par dessus le toit, berce sa palme,
    rues et murs, la vie est là, simple et tranquille
    cette paisible rumeur là,
    vient de la ville.

  10. gballand dit :

    « Far more blue », un parcours agréable, qu’il soit musical ou photographique. Quel joli vélo blue, aussi, voici le vélo idéal pour donner un moral « blue » avec de petites fleurs roses…

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