Poème télégraphique – 70 – envoyé depuis Paris

(Photos du 31 décembre. Agrandir)

(Miles Davis, So What)

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20 réflexions sur “Poème télégraphique – 70 – envoyé depuis Paris

  1. brigetoun dit :

    je me relève, aime pas être à genoux… et comme suis une infime part de la Nation, comme suis pas seule… déstabilisons-le !

  2. Alex dit :

    On dit aussi « replier le feu », comme le faisait le soir dans la cheminée mon arrière-grand-mère.

  3. gballand dit :

    Cette Reine en tailleur m’intrigue.
    L’ « évangélisation » des foules, certains ont essayé et ça peut mal finir. Oui, la Nation est à genoux et ce « je-nous » qui ne tient pas compte du nous conduit à l’apocalypse, ou presque.

  4. Un coup de peinture ne suffira pas à rénover la nation, heureusement qu’il y a Miles pour accompagner les travaux !

  5. tonton19150 dit :

    Jacob serait jaloux de cette échelle..

  6. Francesca dit :

    Merci pour Miles qui pose la bonne question…

  7. Godart dit :

    Première photo, un escabeau couvert de peinture, un petit carnet noir Rhodia fermé, une date : 2.1.21, le carrelage de fond, nous ne sommes pas loin de l’image parfaite ouverte à toutes les interprétations. Le rêve et le matériel peuvent faire parfois bon ménage.

  8. lyssamara dit :

    Poème al dente, avec une introduction du « So What » en mode « inquiet » (je ne connais pas le code des tonalités musicales), même si ensuite les rythmes – du poème et du morceau – donnent le change.
    Rien à voir ? Dante me manque.
    🙂

  9. @ lyssamara : les notes sont peut-être des mots et vice-versa… 🙂

  10. Aunryz dit :

    Quoi de plus vrai que ce premier vers*
    (le confinement est une manière de couvrir le feu
    … et ce qui s’en suit …)
    __
    * réponse : chaque suivant, le poème allant crescendo
    et donc réponse ultime : le dernier

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