Les « passagers » de ces labyrinthes sont des aventuriers de l’art perdu. Certaines mosaïques dans le sol, qui bifurquent vers un effacement inéluctable, ressemblent ici aux marques romaines laissées dans des demeures enfouies au gré de l’archéologie des souvenirs de ce que l’on appelait, jadis, « les humanités ».
La basilique Notre-Dame-des-Victoires distribue l’ordonnancement de la place : elle organise sa circulation près de la galerie Vivienne qui garde de beaux restes.
Les « antivax », côtoyant sans gêne des antisémites proclamés, devraient venir manifester dans ce quartier (2ème arrondissement de Paris), puisque c’était aussi un samedi : un « rafraîchissement » de leurs connaissances historiques ferait sans doute du bien à ce ramassis de complotistes décérébrés (pléonasme) et surtout à leur santé mentale.
(rue des Petits-pères)
(sur les traces d’un inventeur. Photos : agrandir)
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