Dernières images avant de reprendre la route qui n’est pas maritime : l’impression d’abandonner cet océan amical, toujours présent matin et soir, si proche ou si éloigné, bruyant ou calmé, tandis que les mouettes se dirigent vers des destinations inconnues ou reviennent soudain sur leurs pas ailés.
(Quant à la Marine, elle s’était envolée, pour un temps.)
Immuabilité du paysage mais mouvements perceptibles, selon une gradation mystérieuse, des nuages, des vagues, du soleil, d’une rotation presque insensible de tout le visible et même de l’invisible : c’est le manège des jours dont la musique silencieuse et répétitive nous poursuit inexorablement.
(Gifs du 1er mai, le matin. Agrandir.)
(Enregistrement par D.H.)
[ ☞ FIN ]
beauté de la mer et du ciel en harmonie et marcheur infatigable
@ brigitte celerier : la marche (et non « En Marche ») se répand rapidement, à bâtons rompus… 🙂
Ah, cela va vous manquer à Paris l’océan amical, quoiqu’il y a un minuscule océan amical entre les partis de gauche 😉
Un enregistrement qui fait rêver…
@ gballand : le fleuve de gauche serpente… 😉
Hier je m’inspirais de Lamartine, aujourd’hui mon ambition perd quelques lettres, Lama:
« Une île, entre le ciel et l’eau
Une île sans hommes ni bateaux
Inculte, un peu comme une insulte
Sauvage, sans espoir de voyage
Une île, une île, entre le ciel et l’eau. »
@ Robert Spire : Lama, de long en large… 😉
Des vues bien jolies et bien apaisantes. Il n’en est pas de même sur le plan politique, la diabolisation des macronistes de la presque nouvelle gauche unie a commencé. Bayrou s’y est lamentablement exercé ce matin sur France-Inter. Comme dit le journal Le Monde, ce si discret haut-commissaire au plan (?????) ferait mieux de s’occuper de ses chevaux.
@ Godart : Mis en examen(6 décembre 2019) et nommé quand même « Haut-Commissaire au Plan » (3 septembre 2020), Bayrou a uniquement tiré des plans sur la comète, comme d’autres bourrins en politique. 😉
Quel calme…
A Paris aussi, remarque, les gens ont tous l’air d’avoir du fric pour les vacances. Le poissonnier me disait qu’avant ils ne mangent pas, pendant on espère qu’ils achètent local, au retour ils n’ont plus de fric…
@ Francesca : Les privations (et peut-être les privatisations !) sont à l’ordre du jour… 😉