Téléphérique urbain auquel on a échappé dans la banlieue ouest de Lyon, en alternative à un métro qui n’arrivera jamais. Au moins, pour Grenoble cela fait « couleur locale » !
Un cliché de petites cabines qui montent vers la douceur (bien terrestre) du crépuscule, un 26 juillet, accompagné de Pulse : rien ne pouvait plus me distraire du temps qui fuit.
Merci Dominique
🙂
Ah oui ! Très étonnantes, ces nacelles ascensionnelles !
@ Francesca : Quo non ascendat ?… 🙂
au dessus d’un tableau romantique
@ brigitte celerier : le soir tombait… 😉
cinq petites notes de musique qui montent, qui montent 🙂
@ carnets paresseux : il existe aussi une gamme descendante… 😉
Téléphérique urbain auquel on a échappé dans la banlieue ouest de Lyon, en alternative à un métro qui n’arrivera jamais. Au moins, pour Grenoble cela fait « couleur locale » !
@ mchristinegrimard : J’aime cette couleur-là… 😉
Un cliché de petites cabines qui montent vers la douceur (bien terrestre) du crépuscule, un 26 juillet, accompagné de Pulse : rien ne pouvait plus me distraire du temps qui fuit.
Merci Dominique
🙂
@ lyssamara : c’était plaisant ! 😉
Des eaux dormantes qui ne dorment pas, cette nuit qui refuse de sombrer, ces œufs en forme de vélos démembrés, Grenoble sait recevoir.
@ Godart : Eric Piolle a dû se prendre un jour pour l’E.T. du film mais dans un œuf… 😉
Cette image projetée me fait penser au Quai des bulles (l’expression est déjà prise, dans le cadre d’un festival). Belle étape !
@ Dominique AUTROU : il est agréable de « buller » ainsi… 😉
images et musique superbes