Orange et vert partout, complémentaires, la musique de Dylan, agressive juste ce qu’il faut pour secouer la nostalgie…
Ce post n’appelle qu’à une chose: prendre le passé à bras le corps et l’emmener vigoureusement visiter son avenir.
🙂
@ mchristinegrimard : elles sont de plus en plus mises en veilleuse, mais il nous reste Wikipédia pour raconter… de A à Z… le film célèbre auquel vous faites sans doute allusion ! 💡🔦 🪔
Je regarde les photos et je picore, je prends un peu de la mémoire et du talent de Fabrice Luchini, un peu des lumières du Canal Saint-Martin, un peu de la rythmique de Bob Dylan et un peu beaucoup de ces pas montant l’escalier.
Sur la passerelle montent par nasse réticulée des gastéropodes bipèdes à sept spires. En haut les vents gilent au débit mitraillette d’un Luc qui nie la vie fragile de la poésie. Mais je m’égare du Nord, j’écris n’importe quoi.
tellement plus belles les lumières quand ne sont pas trop nombreuses et fortes – belles images de nuit
@ Brigitte Celerier : les illuminations sont en chute libre… 🙂
Orange et vert partout, complémentaires, la musique de Dylan, agressive juste ce qu’il faut pour secouer la nostalgie…
Ce post n’appelle qu’à une chose: prendre le passé à bras le corps et l’emmener vigoureusement visiter son avenir.
🙂
@lyssmara : oui, on peut en faire ce que l’on veut ! 😉
Les lumières de la ville.
@ mchristinegrimard : elles sont de plus en plus mises en veilleuse, mais il nous reste Wikipédia pour raconter… de A à Z… le film célèbre auquel vous faites sans doute allusion ! 💡🔦 🪔
Je regarde les photos et je picore, je prends un peu de la mémoire et du talent de Fabrice Luchini, un peu des lumières du Canal Saint-Martin, un peu de la rythmique de Bob Dylan et un peu beaucoup de ces pas montant l’escalier.
@ Godart : oui, c’est comme un jeu de cartes, on peut les mélanger… 🙂
deux mots qui se télescopent : confinement et prolongation.
@ carnetsparesseux : le « ruissellement » selon Luchini. 😉
Hui et ici, le ruissellement est céleste sans rien de métaphorique ni d’économique ; j’échange deux Lucchini contre un parapluie 🙂
Chaque photo mène à la suivante et c’est un régal, avec Dylan !
@ Francesca : merci, il est vrai que cette chanson de Dylan ne peut s’écouter qu’en boucle… 😉
Lumières en scène. Place aux rêves.
@ maudsebier : Le grand ordonnateur en est Robert Allen Zimmerman… 🙂
Sur la passerelle montent par nasse réticulée des gastéropodes bipèdes à sept spires. En haut les vents gilent au débit mitraillette d’un Luc qui nie la vie fragile de la poésie. Mais je m’égare du Nord, j’écris n’importe quoi.
@ Robert Spire : Non, j’aime la poésie à double sens et les degrés de l’humour à grimper !… 🙂
J’aime beaucoup ce quartier et il est ici illuminé en douceur
@ Zoë Lucider : oui, et la maire de Paris m’a dit : « Vous avez exceptionnellement le droit de prendre des photos de nuit ! » 🙂