J’aime l’imprévu, l’inattendu, le hasard nécessaire, l’inévitable, le sort et ses sortilèges, le jeu des manèges bleu et rose, les avancées du ciel, la mer avec ses propositions répétitives, la ville où essayer de vivre, le caravansérail de la beauté intermittente.
(Paris, rue des Récollets, 10e, 6 décembre, 09:49.)
(rue Linné, 5e, 10:18. Agrandir les images.)
(Charles Mingus, Boogie Stop Shuffle)
D.H.
On aime cette phrase et cette femme aux allures iraniennes.
@ mchristinegrimard : merci, c’est vrai que l’on remarque plus les cheveux des femmes françaises depuis que les Iraniennes en ont fait un signe de révolte… 😉
À ce rythme-là, on vous comprend !
🙂
@ lyssamara : il existe des partitions du hasard… 😉
… qui sort alors le grand jeu du réel pour faire son cinéma ! 🙂
en tout cas y’en a un qui déménage (photo 3 mais Mingus tout autant…)
@ PdB : mais « Charlie » Mingus n’a jamais eu besoin d’une courte (ou longue) échelle… 😉
même si l’inévitable s’en mêle
@ Brigitte Celerier : forcément !!! ://:
🙂
Ô Charly 👍
@ patrickl7 : Charlie Watts ?… 🙂
« Une femme passa… » : La marque de l’inévitable hasard qui fait l’histoire. 😉
@ Robert Spire : l’Histoire vit aussi des trépassées… 😦
J’aime votre regard sur la ville.
@ maudsebier : les lunettes aident peut-être ! 🙂
Un joli « Boogie Stop Shuffle » de mots et de photos qui défilent devant nos yeux.
Ce « hasard nécessaire » me plaît bien.
@ gballand : tant mieux (et merci !). 😉
Cette très belle femme semble porter un sac « cinéma du réel » entre ses longs cheveux noirs et son manteau « couverture » redevenu à la mode. Son pas est follement accompagné par Mingus qui déménage !
@ Francesca : les longs manteaux ressortent (aujourd’hui, vendredi 9, il fait 1° à Paris comme tu le vois sûrement)… 🙂