La longévité de Juan Gris (mort à quarante ans) n’a pas atteint celle de Pablo Picasso. Mais son art personnel est à belle et bonne hauteur de son compatriote d’origine espagnole.
J’aime qu’un peintre s’appelle Gris et s’amuse parfois à démentir son patronyme. Braque en fit d’ailleurs de même.
Dans cette exposition, j’ai découvert – en coup de vent ou de fumée d’une cheminée industrielle – Léopold Survage (du piano sauvage, en fait).
(Pablo Picasso, Le Guéridon, 1913-1914.)
(Fernand Léger, Le Réveille-Matin, 1914.)
(Juan Gris, Poires et raisins sur une table, automne 1913.)
(Pablo Picasso, Portrait de jeune fille, juillet-août 1914.)
(Juan Gris, Verre et damier, 1914.)
(Léopold Survage, Les Usines, 1914.)
(photos : cliquer pour agrandir.)
[ ☛ à suivre ]