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Le moulin était présent à l’aller (sur la droite), il sera encore là au retour (sur la gauche). Il pompait jadis, avec d’autres, l’eau du marais (à zéro mètre d’altitude).
Il reste encore des maraîchers qui cultivent des choux-fleurs et des « chicons » (endives). Ici on aperçoit une maison abandonnée. Les longères sont belles dans leur long étirement géométrique.
Oui, c’est une réserve naturelle, l’autre Marais.
La faune et la flore y prospèrent, et si on peut le parcourir en barque, la balade peut s’exercer aussi à pied, en vélo et à cheval (ou en bateau à voile ?). Lundi dernier, le ciel était bas et lourd, et la tourbe profonde sur le marais audomarois.
Des nuages, en rentrant vers Bailleul (Nord), semblaient pourtant trimballer avec eux un peu du soleil qui faisait plutôt défaut alors au-dessus de ce miroir d’eau semblant dormir quand l’embarcation le fendillait gentiment de son étrave.
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[ FIN ]