Le TGV est un long train tranquille (en dehors des arrêts inopinés en rase campagne). Les paysages s’emboîtent les uns dans les autres, l’impression est de filer plus vite que le temps lui-même : un genre de science-fiction réalisée.
Là, c’était déjà le moment du retour vers Paris. J’avais emporté au hasard un livre de Joseph Bialot, intitulé Le Sténopé (Éditions du Seuil, mai 2000, Points N°756), reparcouru avec plaisir : je suis tombé à nouveau sur un passage que j’avais marqué, en 2009, d’un trait vertical de stylo et relatif aux Chants de Maldoror.
(Morlaix pour mémoire.)
(Gare.)
(Photos et gifs : agrandir.)
(La Monte Young, The Second Dream of the High Tension Line Stepdown Transformer, 1962)
D.H.
[ ☞ FIN ]