Je n’ai pu, hélas, mettre directement en ligne ici l’image animée de mon « poème télégraphique » (numéro 20) envoyé vendredi dernier depuis mon smartphone sur Twitter.
Il faudra donc cliquer sur ce lien.
Car depuis que l’appli Vine s’est transformée, le 18 janvier, en « Vine Camera », elle a perdu un certain nombre de fonctions qui en faisaient son charme – et maintenant il est impossible de :
- copier le lien du Vine sur un blog, afin qu’il reproduise exactement l’image prise à l’origine ;
- envoyer le Vine sur Facebook, cette possibilité étant désormais réservée à Twitter ;
- découvrir sur son propre téléphone la suite des Vine diffusés par d’autres amateurs ;
- connaître le nombre de boucles (ou visionnages) dont le Vine a bénéficié ;
- supprimer le Vine lui-même sur Twitter (je n’ai pas trouvé la manip’), etc.
Cette version « Vine Camera » ressemble à certaines offres « low coast », comme dans l’aviation où la baisse du prix du voyage (même si c’est gratuit ici !) est parallèle à celle de la qualité des services offerts.
La prochaine fois, une simple photo de la page manuscrite de mon petit carnet Rhodia devrait suffire et remplacer le mouvement furtif de celui-ci.
(Canal Saint-Martin, le 21 janvier. Cliquer pour agrandir.)
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