Hier, à l’annonce du décès de l’artiste Jacques Villeglé, je me suis souvenu de l’expo de ses œuvres vue à Paris au Centre Pompidou en octobre 2008, avec ce plaisir de l’arrachement esthétique, de l’originalité découpée, de l’instant épinglé et collé.
Je reproduis alors ici ce mini-souvenir (conservé grâce à la copie d’un ancien blog hébergé puis supprimé un jour, comme tous les autres, par Le Monde), je pense que l’affiche est comme la vie déchiquetée : restent des lambeaux comme des traces de rêves passagers.
D.H.
oh l’énorme (au moins) plaisir de vous relire même si c’est cette disparition qui a provoqué ce billet (et je pense à vous – bon courage)
@ Brigitte Celerier : la mémoire resurgit à cause d’un nom, d’une image… 🙂
🙂
Vu aussi en 2008 cette expo dont j’ai encore un vif souvenir…
@ Francesca : Il était interdit, à l’époque, de faire des photos à l’intérieur des musées.
Mais ils n’avaient pas pu supprimer l’impression mentale ! 😉
c’est vrai qu’il déchirait grââââve le Jacques
@ PdB : idem pour le film La Déchirure (Roland Joffé, 1984) dans un autre genre plus guerrier… 🙂
Heureux de te relire par ici, tout entier !
@ Dominique AUTROU : un passage sans doute intermittent… 😉
Intermittent ou permanent, je suis preneur !
@ Godart : Bien noté, merci ! 🙂