Après l’exposé brillant, comme d’habitude, de Georges Didi-Huberman, et le prochain rendez-vous fixé au lundi 6 mai, j’admire encore la coupole de cette rotonde qui semble donner sur l’infini dans la galerie Colbert si élégante. L’inscription mystérieuse sur la copie de la statue d’Eurydice mourante, due au sculpteur Charles-François Nanteuil-Lebœuf, ajoute au charme particulier de l’ensemble.
Dehors, la rue Vivienne, maintenant noircie, est calme et tranquille : elle s’expose comme une rue d’un Paris d’autrefois, sans les embouteillages et travaux actuels dont elle paraît avoir été épargnée par un sort bienheureux.
(Paris, place de la République, 25 mars, 20:10. Agrandir photos et gif.)
D.H.
[ ☞ FIN ]
n’en ai entendu que les trois quarts (brillant et passionnant et éveilleur etc…) de cette intervention avant d’être dérangée.. y reviendrai – plaisir de retrouver la verrière, sentiments mitigés pour la station Bourse (sauf l’escalier roulant débouchant sur la place) – merci et bonne journée
@ brigitte celerier : La station Bourse est au même prix que les autres (je pointais la carte bancaire « Revolut » que Macron devrait acquérir)… .;-)
ah ? je ne connaissais pas
@ brigitte celerier : c’est l’affiche qui figure sur le quai d’en face… 🙂
idiote je n’avais pas fait attention … comme souvent avec les affiches
(en même temps la rue Vivienne a été en travaux les trois ou quatre dernières années, covid aidant… un peu de calme ne peut pas nuire)
@ pchcomm : je parlais d’un soir… 😉
Tout le charme d’un certain Paris en quelques photos.
@ Godart : le charme de quelques instants… 🙂
Si vieillir c’est « dépérir », passer une heure avec GDH donne l’envie de « dévorer ». 😉
@ Robert Spire : c’est même (presque) deux heures… 😉
C’est vrai, deux heures entre de longs silences, ses mots re(vi)viennent. 🙂 «… Il faut dire les mots tant qu’il y en a, il faut les dire, jusqu’à ce qu’ils me trouvent, jusqu’à ce qu’ils me disent, étrange peine, étrange fuite, il faut continuer… » (Samuel Beckett, L’innommable)
@ Robert Spire : merci pour les mots nommés de Beckett. 😉
Un séminaire doublement fécond. Variété de vues parisiennes.
Grande beauté de la première photo.
@ maudsebier : je ne sais pas pourquoi, j’ai pensé, en admirant à nouveau cette coupole, à Pascal et au sommet du Puy de Dôme… 🙂
Bravo pour le titre (entre autres !) 🙂
@ Dominique AUTROU : l’amusement est un divertissement (parfois pascalien)… 🙂