De nouveau, le triste anniversaire se rappelle à notre mémoire vive, au moment même où se déroule le procès des assassins (ou de l’un de leurs spécimen et de ses complices) ayant agi à Paris le 13 novembre 2015.
Je ne pensais pas, à l’époque, que la Justice parviendrait six ans après à mettre sur pied ce lieu forclos où les terroristes devraient finalement rendre des comptes en public, devant certains rescapés ou blessés ayant échappé au carnage.
Je republie donc ici, une fois de plus, l’article que j’avais écrit dans Métronomiques le lendemain matin d’un des attentats qui eut lieu tout près de chez moi.
Plus que jamais, l’Histoire demeure la gardienne – qui restera toujours intangible malgré les assauts des néo-fascistes et autres négationnistes et complotistes – de l’humanité plus forte que la haine et la folie sanguinaire.
D.H.
Métronomiques 