Ici, le maire, Philippe Pemezec, a été réélu au premier tour des dernières élections par un peu plus de 77 % des votants.
Le parc qui donne sur la grande horloge abrite des monuments consacrés au génocide arménien : Le Plessis-Robinson est jumelée avec Arapkir (il ne s’agit pas d’une ville arabe).
De loin, j’aperçois tout à coup un type qui fait prendre l’air, dans l’herbe, à une petite bête de couleur blanche. Une femme promenant son caniche approche : le chien sans laisse court vers l’homme au rat, qui récupère promptement son animal dans les bras.
Je pense alors à Freud et à L’homme aux rats, l’une de ses Cinq psychanalyses, même si, en l’occurrence, le rat n’en est peut-être pas un : mais dans le cas d’un cobaye, où serait la différence ?
(Cliquer ou bouger les photos pour agrandir le champ.)
(Jimi Hendrix, Little Wing)
[ ☛ à suivre ]
même en cliquant je ne trancherai pas, quant à la différence : il faudrait demander leur avis à un rat et un cobaye :))) je crains que là aussi il y ait de l’ostracisme
@ brigetoun : juste trouver le langage de l’art…
Cet homme a l’air, vestimentairement parlant, imperméable à la psychanalyse.
@ Dom A. : un simple jeu de mot (Witz) lui suffit sans doute.
Cet article de Mediapart est aussi instructif qu’inquiétant, tandis que cette rencontre avec le cas freudien reporte au ridicule de notre quotidien…
@ biscarrosse : à part ces deux « promeneurs », et la statue aquatique, le part était bien désert…
je préfère (et de très très loin) la petite aile de l’ami Jimi…
@ PdB : oui, elle « gratte » plus agréablement !
Je le voyais pas comme ça, l’homme aux rats… je sais pas… plus viennois… moins bedonnant peut-être… J’ai du mal à l’imaginer sur le divan!
@ Julien Boutonnier : si tu lis « le cas », tu verras qu’il n’était pas vraiment d’origine aristocratique…