Une histoire de capot ouvert puis refermé

J’aime les voitures américaines (et aussi quand elles portent un nom comme celui de Chevrolet, d’origine suisse), là il en stationnait une, rue René Boulanger (10^e)  : certes, il s’agit d’un pick-up à vocation publicitaire mais je m’en fiche, j’adore son esthétique qui porte vers le rêve de traversées le long des highways, de la Vallée de la mort ou de la Route 66, du Colorado, des films US plein la tête, avec un autoradio à fond la caisse…

Petit panorama parisien – en passant l’autre jour, le 23 août – de cette voie jusqu’à la porte Saint-Denis.

Il faut qu’un capot soit ouvert puis refermé et c’est comme en politique, la porte se pousse et se claque : à chacun de montrer, comme Aurélie Filippetti, hier, le courage de choisir pour demeurer fidèle à ses convictions, de gauche en l’occurrence.

 

(Pics : click to enlarge.)

(Big Bill Broonzy, Tell Me Who)