Impossible de ne pas se diriger, une fois arrivés à (ou en) Arles, vers les Alyscamps (« Champs-Élysées » en provençal), nécropole délimitée sur les bords de sa voie par de lourdes sépultures en pierre, et menant à une sorte de chapelle qui sert de rond-point final pour le retour en sens inverse.
J’ai repensé alors au début d’un poème de Paul-Jean Toulet, et j’ai été le relire car il s’était échappé de ma mémoire, à part sa première phrase : mais j’ai retrouvé celle empruntée par Raphaëlle Billetdoux pour le titre de son roman Prends garde à la douceur des choses (Seuil, 1976, prix Interallié).
(Cliquer pour accéder à un texte plus net.)
Ensuite, nous nous sommes rendus pedibus jusque dans la vieille ville qui maintient son air fier et romain.
(Photos : cliquer pour agrandir.)
[ ☛ à suivre ]