Musique architecturale, et vice-versa, tout à côté de Rouen [3]

Retrouver, mercredi dernier, le centre de Rouen, se diriger dans ses petites rues, au hasard, avec la flèche de la cathédrale comme pointe de la boussole architecturale, la musique est absente à l’intérieur, seule se fait entendre celle des pas des touristes sur le carrelage et les chuchotements en langue étrangère, un pâle soleil essaie de pénétrer à travers les vitraux, mais les anges ont l’oreille fine.

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Rouen14_DH(Toutes les photos sont agrandissables)

(Curtis Roads, Purity, 1994)

[ ☛ FIN ]

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18 réflexions sur “Musique architecturale, et vice-versa, tout à côté de Rouen [3]

  1. brigetoun dit :

    oh le charme (la beauté aussi) de cette ville
    et la musique est aussi dans la rue, sur les boutiques, jusqu’à faire basculer l’église (selon votre photo)

  2. lanlanhue dit :

    que c’est beau, à en tourner la tête )

  3. Quelle magnifique architecture… Musicale
    Céleste aussi !
    Merci de nous en faire partager la beauté !

  4. @ mchristinegrimard : on se sent joliment transporté dans le temps et préservé, en tout cas, des encombrements automobiles habituels…

  5. Arlette dit :

    Vieux pavés et murs en retraits pour laisser passer carrosses …
    être en expectative!! hésitation du choix des pieds ou d’un vélo rouge

  6. Alex dit :

    Ces belles photos me donnent envie d’aller passer un WE à Rouen…même si les maisons médiévales ont dû être réparées devant les outrages du temps et des guerres…et des entreprises du bâtiment. (Suis aussi originaire d’une cité médiévale).

  7. Anna2B dit :

    Les anges ont l’oreille fine… J’aime. Et les photographes ont le regard qui s’élance, tournoie, pénètre, s’avance, se laisse surprendre, se fixe.

  8. Francesca dit :

    Superbes photos de lieux que je connais bien, restaurés avec grand soin et intelligence. Petite nostalgie des années 60 où Rouen était encore – comme Paris avant Malraux
    – toute noire de fumées diverses et bien moins visitée par des hordes de touristes…
    Mais impossible de dire « c’était mieux avant » car le nettoyage a révélé des couleurs de colombages, des détails d’enseignes, des dentelles de pierre et c’est très beau.

  9. Francesca dit :

    Malraux – pilleur d’antiquités, opiomane et imposteur de génie – s’était en fait attribué la paternité des ravalements décidés longtemps avant lui par le peu recommandable baron Haussmann…

  10. Quelle ville fascinante !

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