C’est un bijou que tu nous présentes là, fond et forme !
Belen, le « mystérieux auteur » évoqué en quatrième de couverture me semble être Nelly Kaplan, non ?
aujourd’hui, pour demain ? – j’ai vaguement reconnu des vendeurs de masques, moi, bizarrement – mais c’est une erreur d’appréciation, je ne suis pas bien éveillé… – à propos de cinéma, l’histoire d’amour de Only lovers left alive (Jim Jarmusch, 2013) cette merveille quand même –
@ Godart : Je suis d’accord, comme vous, avec l’analyse, ici, de Houellebecq… d’autant qu’avec notre Chef on sera vraiment « en marche » arrière (malgré ses déclarations amphigouriques et sans complexe par rapport à ses trois ans de politique antérieure).
Au fait, ne pas confondre « vamps » et vampires : revoir l’excellent film d’Olivier Assayas, Irma Vep ! 🙂
les médecins ont-ils apprécié ?
vous écoutant je me demandais si j’avais déjà lu ce texte ou non … et à la fin ai pensé que sans doute pas
@ brigetoun : l’humour (noir, rouge ou vert) peut servir aussi de remède – le docteur Knock a apprécié) ! 🙂
C’est un bijou que tu nous présentes là, fond et forme !
Belen, le « mystérieux auteur » évoqué en quatrième de couverture me semble être Nelly Kaplan, non ?
@ Francesca : tu n’as pas cliqué sur le lien en rouge ? 🙂
Folie sanguinaire
@ colorsandpastels : pure fiction. 🙂
Décidément, chez les Kaplan je connaissais surtout George, dans La Mort aux trousses.
Merci pour cette découverte vermillonne !
@ Dominique AUTROU : le cinéma était alors peut-être un de leurs points communs…
Mais Edgar Poe ne se trouvait peut-être pas loin non plus… ! 🙂
Du détournement de sens au détournement de sang, de quoi remplir un réservoir de beautés.
« L’ esprit maléfique » d’Isidore y apporte sa Pieyre.
@ Robert Spire :
« Dans l’horloge de pierre
Jouent les heures de nuit
Dorées du cri des crapauds et des raines »
André Pieyre de Mandiargues, L’Âge de craie, « Le Temps perdu » (Poésie/Gallimard, 1967, page 68).
aujourd’hui, pour demain ? – j’ai vaguement reconnu des vendeurs de masques, moi, bizarrement – mais c’est une erreur d’appréciation, je ne suis pas bien éveillé… – à propos de cinéma, l’histoire d’amour de Only lovers left alive (Jim Jarmusch, 2013) cette merveille quand même –
@ PdB : « La mascarade » osait dire Buzyn, partie dans un autre business….
Ce cher Jim Jarmusch, oui, le gris lui va si bien. 🙂
Merci pour cette belle découverte qui m’a fait penser à Sternberg (je ne connaissais pas Nelly Kaplan).
@ carnetsparesseux : Kaplan de cinéma, aussi ! 🙂
ignare que je suis, je n’ai même pas fait le lien 😦
@ carnetsparesseux : on avait peut-être dit « Coupez ! » avant… 🙂 D.H.
Moi aussi, j’ai pensé à Sternberg.
Houellebecq aurait pu dire : les vamps de demain seront les mêmes que celles d’hier, mais en un peu pire.
@ Godart : Je suis d’accord, comme vous, avec l’analyse, ici, de Houellebecq… d’autant qu’avec notre Chef on sera vraiment « en marche » arrière (malgré ses déclarations amphigouriques et sans complexe par rapport à ses trois ans de politique antérieure).
Au fait, ne pas confondre « vamps » et vampires : revoir l’excellent film d’Olivier Assayas, Irma Vep ! 🙂
C’est dans ta bibliothèque.
Jacques
@ Jacques Mounier : Oui tu as l’œil (depuis NYC), on dirait, et c’est uniquement parce que je l’avais sous la main… 🙂