(Paris, rue Beaurepaire, 10e, 7 juillet. Agrandir.)
La terrasse luit
les convives sont transparents
travelling d’un soir
(Bill Evans, The Two Lonely People)
[ ☛ à suivre ]
(Paris, rue Beaurepaire, 10e, 7 juillet. Agrandir.)
La terrasse luit
les convives sont transparents
travelling d’un soir
(Bill Evans, The Two Lonely People)
[ ☛ à suivre ]
Extérieur nuit
Tres cinéma de minuit
Merci pour la balade piano
@ mchristinegrimard : merci (festival de Cannes avec juste un couple !)… 😉
vais en rester au plaisir des images; du haïku et du commentaire de Marie-Christine
@ brigetoun : vous pouvez ! 🙂
Renversez-nous ce « n »*, affutons-le un peu et Cupidon vaincra !
🙂
* de « lonely »
@ lyssamara : voui ! (même si je ne peux toucher à un titre de Bill Evans) 🙂
plaisir de la promenade sur des trottoirs envahis appropriés sinon colonisés… coûte que coûte (mais quel piano)
@ PdB : j’ai trouvé (après visionnage) que l’on aurait dit une actrice italienne, non ? 🙂
ah oui un peu de Silvana Mangano peut-être bien oui
on peut imaginer… 🙂
Un petit air de Darroussin qui ouvre la porte de la séduction à ses sosies. Bien à l’abri, en cas de pluie, il pourrait chanter : « il peut pleuvoir sur les trottoirs des grands boulevards, moi j’m’en fiche, j’ai ma mie auprès de moi……. ».
@ Godart : ce serait un sosie d’Yves Montand, alors… 🙂
Merci pour la douceur du soir et pour Bill Evans
@ Francesca : Juste un moment de quatre secondes (pour l’image) ! 🙂
L’intimité à l’extérieur, enfin, et la bouteille de rosé qui fait voyager, merci !
@ Dominique AUTROU : rosé sans masque ! 🙂
« Les convives sont transparents », travelling sur du vide, vide & Co, un virus ruse en variant nos destins. Se souvenir de François Bott (repère) qui écrivait en 1977: «En poursuivant l’éternité marchande , les modernes se jettent dans un monde de fantômes. L’irréalité s’impose et, un jour, c’est la vraie vie qui paraît inconcevable.» (Traité de la désillusion)
@ Robert Spire : Faut-il botter en touche (surtout ce soir) ? 🙂
Degas riait dans un coin
@ colorsandpastels : malgré les dégâts… 🙂