Et, déjà, les tuiles rient = 2 =

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(Guiseppe Penone, L’Arbre des voyelles, 1999.)

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(Paris, Jardin des Tuileries, 2 mai. Images agrandissables.)

(Julian Cannonball Adderley, Experience in E.)

[ ☛ à suivre ]

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17 réflexions sur “Et, déjà, les tuiles rient = 2 =

  1. plaisir doux et puis le sourire de ce couple et de ses rouges 🙂

  2. J’aime le flegme des statues jumelles qui regardent passer les coureurs.

  3. Godart dit :

    Perspective, perspective, l’Arc de Triomphe apparaît tout petit.

  4. Francesca dit :

    Premier week-end de liberté ; relative.
    Le ciel de Paris tout bleu où filent des cumulus tout blancs, la vilaine grande roue comme estompée dans la lumière, l’eau calme à contempler, ou bien courir – si l’on peut… – pour distraire les belles de Maillol.

  5. PdB dit :

    qu’est-ce que ça peut courir, ces bipèdes, c’est quand même diiiingue…

  6. Robert Spire dit :

    Jolie reportage sur un « Center Parc » (limité) au centre de la ville : « Les bronzés aux Tuileries »… 🙂

    • @ Robert Spire : On se souvient de Sarkozy en vélo et de Macron en tennisman, en scooter des mers, en bicyclette avec gardes du corps, en skieur à Courchevel…
      Mitterrand, lui, se contentait – plus discrètement – de feuilleter des livres rares le long de la Seine (bientôt l’anniversaire du 10 Mai 1981 !). 🙂

  7. Les passe-murailles sont autorisés à marcher sur la pelouse, ce qui leur fait une belle enjambée.

  8. […] aperçu un arbre de Giuseppe Penone, c’était à Paris dans les jardins des Tuileries, en mai 2021 : il était là, couché de tout son long, solitaire, avec bien peu de visiteurs penchés sur lui. […]

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