Quitter rapidement l’hôtel – et sans une nuit bis – puis se diriger vers ce lieu d’art où le matin il n’y aura sans doute pas autant de touristes que, vers midi, tous ces groupes cornaqués par des guides brandissant un drapeau blanc à rond rouge en signe de ralliement.
J’ai lu depuis (« Le Monde magazine », 4 mai) qu’à Montréal les vingt-quatre calèches tirées par des chevaux allaient disparaître d’ici à la fin de l’année pour cause de souffrance animale.
Elles seraient remplacées par des carrosses électriques : mais à Bruges, on n’est pas au courant.
Déjà, les petites vedettes bourrées à craquer parcourent le canal qui longe le musée. Les dauphins qui, dit-on, leur sont attelés demeurent invisibles.
Le temps est à la grisaille, la peinture sera-t-elle à la mitraille ?
(cliquer sur la photo ci-dessus pour en découvrir une autre.)
(photos : cliquer pour agrandir.)
[ ☛ à suivre ]
Superbe, et particulièrement le jouet à roulettes caché
@ colorsandpastels : Cette voiture aperçue fugitivement m’a fait penser à une Talbot Lago que j’avais en Dinky Toys… 🙂
vais rêver aux dauphins
@ brigetoun : eaux profondes… 🙂
« Nuit bis à l’Ibis » (outre le recours à la marque, name dropping ou branding je ne sais) voilà le titre d’un nouveau polar (je te cède le copyright) :°)) (joli,le tricycle jaune de la deuxième image…)
@ PdB : ou « Ibis non repetita » !
(le tricycle n’était pas à pédales…) 🙂
Intrigant, le petit engin jaune de la deuxième photo…
@ Francesca : j’ai failli le louper… mais je ne sais pas s’il est très écolo ! 🙂
[…] fatuité des invités est à vomir) (en date du 9 mars 2014 si j’ai bien lu – merci au Chasse-Clou pour le […]