Montée vertigineuse, lumière crue et surréaliste, température extérieure inconnue, on est pas loin de Fahrenheit 451. Heureusement, la température de 232,8 °C ne semble pas atteinte permettant d’éviter l’auto-ignition des toiles exposées.
Un geste (mécanique) qui marquera l’histoire de l’art. Comique de situation des mines effarées des spectateurs présents. Quand la réalité rejoint la science-fiction.
C’est toujours aussi fascinant, ces immeubles accolės qui deviennent, au fur et à mesure de la montée, comme de petits dėcors le long de la place où s’éparpillent nos semblables…
Beaubourg est un des lieux où je me rend chaque fois que je viens à Paris et je suis toujours fascinée par cette lente montée vers le ciel. Merci pour me l’avoir offerte ce jour
il fait si doux (nous ne devrions pas nous réjouir, mais le faisons – qui nous donnera tort ?)
@ brigetoun : Trump préfère le « green » au sable chaud… 🙂
Bonne idée pour aller y passer ce WE avec ce grand soleil !
@ Alex : ça va concurrencer Paris-Plage qui tarde à réouvrir ! 🙂
Montée vertigineuse, lumière crue et surréaliste, température extérieure inconnue, on est pas loin de Fahrenheit 451. Heureusement, la température de 232,8 °C ne semble pas atteinte permettant d’éviter l’auto-ignition des toiles exposées.
@ Godart : seul Bansky est maître dans l’art de l’auto-destruction des toiles : ici, les cubistes résistent ! 🙂
Un geste (mécanique) qui marquera l’histoire de l’art. Comique de situation des mines effarées des spectateurs présents. Quand la réalité rejoint la science-fiction.
@ Godart : Marcel Duchamp aurait apprécié ! 🙂
De même que Ray Bradbury.
@ Godart : cela va de soi… 🙂
Parasols land
@ tartaglia : une comédie musicale que Stanley Donen n’a pu monter… 🙂
« Ascenseur vers » des promesses de beau !
La place de l’Echafaud ouiiii. Prière de laisser un œil à disposition des autorités
@ colorsandpastels : « Soleil cou coupé » (René Char). 🙂
@ mchristinegrimard : oui, direction la « musique » (en miles) du cubisme… 🙂
C’est toujours aussi fascinant, ces immeubles accolės qui deviennent, au fur et à mesure de la montée, comme de petits dėcors le long de la place où s’éparpillent nos semblables…
@ Francesca : des figurants payés pour faire des « installations » quotidiennes… 🙂
Beaubourg est un des lieux où je me rend chaque fois que je viens à Paris et je suis toujours fascinée par cette lente montée vers le ciel. Merci pour me l’avoir offerte ce jour
@ Zoë Lucider : la vue est plus ample que depuis l’escalator du métro Rambuteau ! 🙂
La marée arrive par la rue de Venise ?
@ Dominique AUTROU : La marée était en jaune… 🙂