Vers Beaubourg, ils nous pompent itou !

Les travaux n’en finissent pas, les rues parisiennes sont presque toutes en chantier et voilà que l’impayable général Georgelin croit utile de sortir – scrogneugneu ! – de sa « réserve » concernant ceux de Notre-Dame de Paris et insulte publiquement Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques. Même le « discret » Franck Riester est obligé de monter au créneau.

Pas loin, le Centre Pompidou se fait ravaler la façade et le défilé d’attente pour l’expo en vogue (Bacon) s’allonge démesurément, surtout le jour du 11 novembre.

J’ai d’ailleurs raté celle consacrée à Jacques Vaché – le 9 novembre 2019 à 19 heures ! – comme si on m’avait envoyé paître ailleurs.

Décidément, la poésie adore aussi la facétie et les extraterrestres.

(Paris, 13 novembre. Cliquer pour agrandir.)

(Erik Satie, Gnossienne N°1, Allessio Nanni au piano)

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16 réflexions sur “Vers Beaubourg, ils nous pompent itou !

  1. Lumière surréaliste pour la seconde photo. La dolce vita à rayures faite d’ombre et de lumière. Merci pour les photos !

  2. brigetoun dit :

    dommage pour Vaché, oui
    et zut pour ces autos qui empruntent leur nom (mais oui belle photo)

  3. PdB dit :

    un type nommé par le pouvoir en place, d’une telle vulgarité ? Exemplaire… (Satie, magnifique)

  4. Bacon, ça promet #leauàlabouche

  5. Mais alors, la poésie prend le bus, elle aussi ? Fichtre…

  6. Godart dit :

    On comprend mieux pourquoi la Grande Muette a intérêt effectivement à rester muette.

  7. Francesca dit :

    Oh oui, magnifique seconde photo !

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