Un jour, un train

(cliquer sur l’image et le petit haut-parleur)

Quand je prends le train (sans doute trop rarement), comme ici le 30 décembre de l’année dernière, je pense toujours au merveilleux film (1968) d’André Delvaux.

Les voyages se déroulent aussi dans la mémoire.

Tagué ,

30 réflexions sur “Un jour, un train

  1. arlette dit :

    Temps précieux entre deux rives..

  2. nanamarton dit :

    Je vois que vous ne prenez pas le train sans une pomme (pour la soif ?)…

  3. Heureuse de vous entrapercevoir de nouveau !

  4. brigetoun dit :

    vais y penser en situation demain matin

  5. gballand dit :

    jamais vu ce film, je retiens le titre. Quant au train, un bonheur que de s’y asseoir. Pensez aux changements climatiques… 😉

  6. MyoPaname dit :

    Un film avec une atmosphère toute particulière…
    J’entends surtout le train siffler… 😉

  7. Francesca dit :

    Ah, les voyages en train…les paysages qui défilent et les reflets indiscrets dans les vitres !

  8. lanlanhue dit :

    vive les trains on y est tjrs avec sa mémoire 😉 en route vers quelque part

  9. Anna2B dit :

    Fixer et filmer l’effacement…Le voyage pour gommer la lourdeur du présent en se collant à la vitre,à la vitesse. Voyager pour oublier.

  10. J’aime beaucoup cette idée du voyage dans la mémoire. Entre soi et soi, il est rare que l’on s’ennuie.
    Belle année Dominique.

  11. Alex dit :

    « Les Aventuriers du Rail ». J’aime prendre le train, où on peut penser et réfléchir ‘, autrement que dans une voiture.

  12. je reconnais le Paris-Metz ^^

  13. Zoë Lucider dit :

    Au lieu de construire des routes nous aurions dû farcir nos territoires de rails. Quelle façon agréable de se déplacer. Bonne année cher Dominique.

  14. Catherine SERRE dit :

    Je partage avec vous via Google drive un document rare, l’interview d’André Delvaux réalisée lors de sa venue en 1999 à Villefranche-sur-Saône pour les 4ème Rencontres du cinéma francophone en Beaujolais, il en était cette année-là le parrain. (Nous avons cette année fêté les 20 ans de cette manifestation). Bonne lecture.

  15. @ Catherine SERRE : merci d’avoir donné ainsi accès, grâce au lien que vous m’avez transmis, à cet entretien donné aux « Rencontres du cinéma francophone en Beaujolais », des propos tout à fait éclairants sur le travail de ce grand cinéaste (et frère du peintre Paul Delvaux).
    Le surréalisme belge a toujours été extrêmement vivace (je pense notamment au très beau musée Magritte de Bruxelles…).

Répondre à arlette Annuler la réponse.