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Quand je prends le train (sans doute trop rarement), comme ici le 30 décembre de l’année dernière, je pense toujours au merveilleux film (1968) d’André Delvaux.
Les voyages se déroulent aussi dans la mémoire.
Temps précieux entre deux rives..
@ arlette : tant que le train gardera sa magie…
Attention aux » bifurcations » !!!
@ Arlette : l’aiguillage est un art (comme tricoter)… D.H.
Je vois que vous ne prenez pas le train sans une pomme (pour la soif ?)…
@ nanamarton : ça peut également servir en cas de retard !
Heureuse de vous entrapercevoir de nouveau !
@ mchristinegrimard : fugitivement (puisque c’est à très grande vitesse)… 🙂
vais y penser en situation demain matin
@ brigetoun : se laisser conduire, ça change !
jamais vu ce film, je retiens le titre. Quant au train, un bonheur que de s’y asseoir. Pensez aux changements climatiques… 😉
@ gballand (désolé que votre commentaire ait atterri dans les spams !) : un film à voir sur écran dans un train… si le trajet dure au moins une heure et demie !
Un film avec une atmosphère toute particulière…
J’entends surtout le train siffler… 😉
@ MyoPananme : vous avez de bonnes oreilles (mais ce train-là n’allait pas vers Antony) !
Le train qui siffle est celui du film… Il annonce un départ.
@ MyoPaname : vous m’avez remis en tête le refrain de Richard A. 🙂 D.H.
Ah, les voyages en train…les paysages qui défilent et les reflets indiscrets dans les vitres !
@ Francesca : l’indiscrétion s’est invitée de manière impromptue (c’est là le plaisir du Vine)…
vive les trains on y est tjrs avec sa mémoire 😉 en route vers quelque part
@ lanlanhue : on peut se laisser bercer…
Fixer et filmer l’effacement…Le voyage pour gommer la lourdeur du présent en se collant à la vitre,à la vitesse. Voyager pour oublier.
@ Anna2B : un voyage qui ne dure pourtant qu’une heure (moitié moins qu’en voiture)…
J’aime beaucoup cette idée du voyage dans la mémoire. Entre soi et soi, il est rare que l’on s’ennuie.
Belle année Dominique.
@ defrancoisjose : merci à toi et – si je me souviens bien des dates… – bonne année 2016 !!!
« Les Aventuriers du Rail ». J’aime prendre le train, où on peut penser et réfléchir ‘, autrement que dans une voiture.
je reconnais le Paris-Metz ^^
@ colorsandpastels : il aurait donc fallu prendre la gare de l’Est (mais les rails ont la même largeur)… 🙂
à deux pas de chez vous
@ colorsandpastels : je connais l’itinéraire par cœur et par pieds… 🙂
Au lieu de construire des routes nous aurions dû farcir nos territoires de rails. Quelle façon agréable de se déplacer. Bonne année cher Dominique.
@ Zoë Lucider : belle utopie mais « l’individualisme » français a été happé par les constructeurs automobiles..
Belle année à toi aussi, Zoë !
Je partage avec vous via Google drive un document rare, l’interview d’André Delvaux réalisée lors de sa venue en 1999 à Villefranche-sur-Saône pour les 4ème Rencontres du cinéma francophone en Beaujolais, il en était cette année-là le parrain. (Nous avons cette année fêté les 20 ans de cette manifestation). Bonne lecture.
@ Catherine SERRE : merci d’avoir donné ainsi accès, grâce au lien que vous m’avez transmis, à cet entretien donné aux « Rencontres du cinéma francophone en Beaujolais », des propos tout à fait éclairants sur le travail de ce grand cinéaste (et frère du peintre Paul Delvaux).
Le surréalisme belge a toujours été extrêmement vivace (je pense notamment au très beau musée Magritte de Bruxelles…).