En regardant ces volatiles volages, j’ai repensé au titre de la chanson qui figure juste ici, en dessous. J’ai joint les photos avec celle-ci, comme dans une rencontre improbable, mais le jeu des rapprochements, des conflagrations inattendues, des « correspondances » (au sens baudelairien du terme), des associations non déclarées Loi 1901, ou du « hasard objectif » à la Breton m’a toujours aimanté.
Un oiseau chante, une chanson demoiselle : il suffit d’être à l’écoute – alors, on ouvre l’écoutille.
(cliquer pour agrandir ces photos prises le 18 octobre.)
(Julie London, Bye bye Blackbird)
[ ☛ à suivre ]